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Bois de Boubou 3
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Y en a vraiment marre de traîner la queue basse dans le hall de mon immeuble et Icham avec sa tête des mauvais jours ne me donne pas l’envie de m’encroûter avec lui dans pareil endroit.

Je prends ma tire, allume le contact et m’en vais draguer à la lisière du bois de Boubou.

Encore un peu tôt pour tirer ma crampe tranquillement derrière un buisson sans être vu par les minots avec leur vieux, alors tranquillement je marche dans les éte;es de ce bois qui la nuit éute;e laisse transpirer le meilleur ou l’inavouable de nos contemporains.

J’massied comme à mon habitude sur la souche d’un arbre et commence à me rouler un beuz de chez beuz, pas du genre de celui qui met stone la première tapiole qui traîne ; Non plutôt celui qui permet d’ouvrir son esprit à de nouvelles é;couvertes.

En pleine élaboration de mon tube à cancer, un jeune lascar sorti de nulle part croise mon regard et éte;diatement une étincelle me permet de croire à un proche avenir des plus jouissif. Je l’invite à s’asseoir pour commencer par tirer sur le é;do.

La nuit commence à envelopper les arbres dans une éé qui illumine mes envies. Doucement j’amène ma proie dans des é;lires verbaux qui m’autorisent à croire beaucoup de choses possibles.

La éte;e envahit mes poumons et mon cortex ne tarde pas lui non plus à gonfler d’ée;es plus ou moins salaces. Je le regarde là devant moi, prêt à se pencher sur mon entre jambes. é;jà ses yeux brillent d’une éé toute vicieuse. J’commence à me toucher le zboub l’air de lui faire comprendre mes attentes.

Ni une ni deux sa tête se rapproche de mon survet et ses lèvres frôlent les trois bandes qui ornent mon entre jambe. Sa langue joue à é;couvrir mon é;but de braquemart. Je lui offre le cul du joint pour qu’il aspire à plus de vices et que ses yeux servent mes envies.

De petits râles de contentement envahissent le silence des éte;es du bois ; Doucement je baisse le dernier rempart qui lui interdit l’accès au plaisir suprême. Mon gland grossit dans sa bouche sous les lapements é;péé;s de sa écute; buccale.
Les jambes bien écartées je lui laisse le loisir de se gaver avec mes vingtaines de centimètres, je regarde des gouttes de salive couler le long de son menton. Je ferme les yeux et me laisse transporter au milieu de sa écute; que tranquillement je remplis de mon maximum. Ces é;missements deviennent râles et vu sa position je sens bien qu’après son fion se montrera dispos pour se faire bouhiave avec ferveur. Pour le moment je le laisse rouler mes burnes autour de sa langue, se gonfler de sève.

Avec sa main droite, il s’amuse à serrer au maximum ma pine histoire qu’elle le gave bien. Des larmes perlent sur ses joues à puissance de manger ma teub et qu’elle lui remplisse bien éeacute;ment sa gorge de petite salope. Mes mains guident ses vas et viens et insistent afin de l’entendre s’étouffer. J’aime comprendre et sentir que le éute; face à moi se é;gale et cherche à me donner le maximum de plaisir, pas vous ?….
Mais sa bouche ne me suffit pas et j’ai grave envie de lui fourrer la rosette en regardant ses petites fesses de lascar bouger et rebondir sous mes coups de butoir.

Je me lève et lui donne ma place afin qu’il se cambre suffisamment pour m’offrir son trou. éute; derrière lui je é;bute par un doitage en règle. D’abord un doigt puis deux et é;sormais écute; je peux lui enfourner ma tige écute;e. Un énorme cri é;chire la nuit maintenant bien éute;e, et ma pine transperce son é;ant d’un coup d’un seul. L’entendre râler, é;mir me donner encore plus envie de l’enfourner jusqu'à la garde. Virilement et sereinement je commence à bien lui élargir la raie afin d’y voir ma teub pourfendre son petit trou qui é;jà suinte de plaisir. Mes mains toutes entières, comme les serres d’un aigle, tiennent en respect ce cul éute; par mes assauts é;péé;s.

Je rude ses fesses et les frappent de grandes claques qui font rougir sa chair et dresser le minuscule duvet qui fleurit dessus. Mes mains descendent jusqu'à trouver leur point d’attache dans le creux de ses cuisses. Ainsi tenu il m’appartient et mes dix doigts soulèvent facilement ses jambes afin de mieux l’empaler.
Au moment où je le sens é;passé par sa jouissance je me retire et exige d’un ton ferme qu’il me finisse avec ce qui lui sert à é;mir. Il s’agenouille comme une bonne chienne soumise pour me finir. Je me contracte, mes muscles se raidissent avec ses insistants coups de langue. D’un seul geste je lui intime l’ordre de descendre en me é;chant l’entrejambe et que je puisse lui lâcher mon foutre chaud sur son dos de bon soumis. épais mon foutre ce soir. Il a du mal à couler sur son dos. Il reste dans cette position et ses é;missements me laissent penser qu’il se finit. Bingo, il se relève avec un joli sourire aux bords des lèvres. Il est heureux, Moi aussi !