Histoires de sexe

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BACHIR ET SA BONNE QUEUE II
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Marre de bourlinguer aux quatre coins du pays alors je reviens traîner ma face dans la éte;e qui m’a vu naître.
Je retrouve les mêmes lascars, les mêmes faces de crevards qui arpentent sans arrêt les éte;es de la éte;e.
Abdel et Bachir sont fidèles au rendez vous et s’occupent tant bien que mal dans cette cage d’escalier où il n’y a rien à glander.

Je stagne un peu avec eux, discute de tout et de rien. Apparemment ils ne s ‘ennuient pas en mon absence et ont même ée;vu une touze pour ce soir.
éte;ché par l’ée;e je leur donne rencarts pour moi aussi profiter de l’occasion. La cage d’escalier est froide, pas de chauffage et la nuit noire qui n’arrange rien. Je suis mes potes et descend dans la cave rejoindre d’autres gossebo pour nous amuser sur un lascar qu’ils ont é;cho grâce à un é;seau é;léphonique.
Le mec est jeune et vraiment bien foutu. Directement il commence par é;pon Bachir et son chibre qui lui éclate les gencives. Il é;mit comme une chiennasse en manque qui ne demande qu’a se rassasier. A travers mon survet je commence à triquer et je m’approche pour lui donner mon bambou à sucer. Bachir me regarde et me souris, un clin d’œil complice au bout des yeux. Pendant que notre chatte m’astique le pieu je tente d’embrasser les grosses lèvres de Bachir qui ne recule pas, bien au contraire . Il me saisit la bouche et me roule une é;ga pelle bien baveuse. Ma tige semble prête à éclater principalement grâce à Bachir.

Notre petite tapiole continue son travail et alterne entre les deux teubs ne pouvant physiquement les mettre toutes les deux dans sa gueule.
Abdel qui est éute; à distance nous reluque et é;cide de se joindre à nous en levant le cul de notre petite salope. A peine le falsard écute; il entreprend la rosette du gars et lui arrache un cri qui vient trouer la é;nombre de la cave. Bachir et moi matons ce cul qui s’enfourne éute;ralement sur Abdel.
J’en bande encore plus et Bachir lui aussi. Ses lèvres continues à bouffer ma salive et laisse comme une empreinte éte;lébile.
Abdel éclate à coups de va et viens le cul du minet. Il lui casse complètement le fion. Je é;cide de changer de poste et d’enculer moi aussi notre si jolie proie.
J’enfile la potka et rentre doucement dans l’éeacute; noire et profonde du gars. Je gave avec é;thode ses fesses et tellement heureux, il me lâche un pet de satisfaction. Nous rigolons tous mais ne lâchons pas l’affaire pour autant. Je lui soulève les jambes pour qu’elle sente encore plus ma pine lui perforer le cul. Trop écute; je crache dans mon plastique intime et me retire pour offrir les dernières gouttes de mon foutre à ses joues.

Bachir lui aussi entreprend les fesses du gars et avec lui le ramonage est é;vère.
Je laisse ma teub pendre et Abdel vient lui aussi m’embrasser pour me é;liciter. Il regrette que je ne sois pas là plus souvent pour participer à leurs ébats. Bachir se retire et crache sur le dos de notre é;dé. Il va s’essuyer la queue sur le mur et remballe le tout avant de disparaître. Notre petite folle heureuse se branle ée;nétiquement ce qui lui sert de tuyau d’arrosage et finit par lâcher à même le sol des petites éute;es. Il se rhabille et demande que nous le raccompagnions au é;tro le plus proche.
On lui indique la direction pendant que nous rejoignons notre cage d’escalier. Peut être le reverrons nous un jour. Qui sait ?