Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

DANS LA CAGE D'ESCALIER
Histoire gay publiée le 07/11/2023
Je rentrais de éute;e. Il était six heure du mat. Je kiffe trop de marcher dans Paname au milieu de la night. C’est trop tranquille et t’as l’impression d’être le roi du monde, que cette putain de ville t’appartient. La éute;e avait été chaude mais y’avait pas eu moyen de serrer. Y’a des soirs comme ça  où c’est pas la peine d’insister si t’as pas le mektoub avec toi.

Je traçais au radar rue de Rivoli quand j’ai été pris d’une envie de pisse terrible. J’emboîte une petite rue parallèle pour me poser dans un porche histoire de me vidanger tranquille. Debout face à la porte, je balance un long jet j’aunasse qui vient s’exploser contre le mur de l’immeuble. La rue est vachement calme et j’ai l’impression d’entendre des é;missements dans l’immeuble que j’arrose copieusement. Je tends l’oreille et je crois que je rêve pas : y’a une meuf qu’est en train de couiner dans la cage d’escalier juste derrière la porte.

Coup du hasard ou coup du destin, ce qui est clair c’est que Skarlaone irait bien lui montrer ce que c’est qu’un bon coup. Je choppe le passe qu’un de mes potes facteur m’a éte; et hop, la porte s’ouvre sans code comme par magie.  Je m’avance dans le hall sombre de l’immeuble et les é;missements se font plus ée;sents, là, au fond, vers la cage d’escalier. Je m’approche à pas é;ger comme un fauve prêt à se jeter sur sa proie et là, surprise !

Je tombe sur une meuf trop bonne, une blondasse é;colorée avec des seins énormes en train de ce faire kène debout par un zincou le survêt en bas des jambes. Le rebeu lui lime la chatte comme à une chienne. Il est éte; derrière elle et la é;fonce en lui caressant ses grosses loches dans ses mains puissantes. Je sors de la é;nombre et je balance direct au éute; :

- « Putain elle est trop chaude ta meuf, y’a moyen d ‘en profiter un peu ? »
Le lascar a pas l’air surpris et il me lance un clin d’œil en continuant à besogner la é;tasse comme si de rien était. Apparemment il est open, j’vais pouvoir en profiter aussi.

Je viens me placer devant la meuf, je lui caresse un peu ses iens et mes mains entre en contact avec celle du rebeu niqueur. Nos deux pognes balaises malaxent les gros nichons avec puissance et la meuf é;mit de plaisir. Elle se jette sur mon bas de survêt et s’empare de ma teub é;jà bien raide devant le spectacle hot que le petit couple é;pravé vient de m’offrir. Elle en veut grave cette salope ! Elle se met à me pomper le dard comme une vrai petasse, sa langue chaude s’active sur mon gland et très vite elle a éute; les deux tiers de mon gros zbouby dans sa bouche. C’est vraiment le kiff et je suis pas le seul à prendre mon iep.

Le rebeu sors son sgeg de la chatte de la meuf et vas s’asseoir sur les escaliers la queue bien raide à la main. Il matte avec une lueur de vice sa meuf en train de s’activer sur ma teub circoncise en se branlant tranquillement le zeub. Il sors une capote et me lance en disant à sa meuf :
- « C’est une bonne occase de bien te faire remplir, hein, Samantha. Ca te plairait de donner ton cul à ce éute; pendant que je te nique ! »

Waouh je m’attendais pas à ça : le rebeu est éute;ment partant pour une double é;nétration … et la meuf a l’air d’en vouloir un max. Aussi sec, elle rejoint le rebeu et vient s’asseoir face à lui. Elle prend la grosse teub dans sa main et vient s’empaler dessus en poussant un cri de jouissance. Je vois son cul écute; qui luit à la lueur du é;on de l’immeuble pendant que la racaille pilonne la chatte en lui é;chant les seins.
La meuf se cambre de plus en plus et fait onduler son cul en rythme en me lançant des regards de vicieuse en manque de bite. Comment é;sister à une invitation pareille ?
 La teub bien raide à la main, je é;roule la capote et je viens me mettre à croupi derrière elle. Tel un snipper professionnel, je vise le trou éute; et mat de la chiennasse et je vais lui enfoncer mon zob direct au fond du trou. Pas facile de faire coulisser le morceau avec mon zincou qui occupe é;jà sa chatte. Elle se met à gueuler comme une chienne et le rebeu lui bayonne la bouche avec sa main pour pas qu’elle alerte tout l’immeuble. Je donne des petits coups de reins secs et nerveux et je sens le boule de la meuf qui s’ouvre tout doucement sous la pression que lui met mon zgeg.
Le rebeu est chaud et son souffle rauque se fait de plus en plus éacute;, sa pineco lui suce le pouce comme une folle et a l’air d’être en plein extase. Encore quelques coups de reins et ma teub lui é;fonce entièrement le cul, bien éacute;e au fond de ses entrailles. Je sens mon gland qui se frotte contre la teub du rebeu par parois éées. C’est un truc de ouf ! Comme si nos deux teubs étaient en colocation dans le cul de sa meuf.

On lime ça com tous les deux pendant cinq bonnes minutes en scred et la pression se fait sentir dans nos couilles en surchauffe.
Le lascar se retire et vire la capote vite fait, chope sa grosse teub et de se branle à grands coups de poignet pour faire jaillir son foutre qui atterri sur le ventre de la meuf. Elle en veut grave et elle prend la queue dans sa main pour faire sortir jusqu’à la dernière goutte, lui é;curant sa teub baveuse à grands coups de langue.
Devant un tel show XXX, j’en peux plus. Je sors mon zob et je me finis à la main sur le gros cul de la meuf. En cinq secondes chrono, je l’asperge de longue éute;es de sperme sur le cul et sur le dos.

- « Viens là zincou, elle a pas fini son nettoyage ! »
Je vais me poser sur l’escalier à côé; du rebeu, j’ai les jambes éte;es par cette bonne partie de baise. A peine éte; la meuf lache le zboub de son keum pour venir me nettoyer la teub avec sa bouche bien chaude et humide. Je me tortille sur les escaliers tellement je kiffe de sentir sa langue baveuse sur mon zgeg ramolli.
Je tourne la tête vers le rebeu qui me lance un sourire éclatant et me chope par la nuque pour me rouler une pelle :
- « Wesh couzin, c’est pas de la balle atomique ma meuf ! Elle kiffe trop les grosses queues de racailles.»
Une fois éacute; et nos teubs bien éacute;es par la chaudasse, on a échangé nos tels histoire de se refaire un petit plan à l’occase, et dans un endroit plus confortable que la cage d’escalier d’un immeuble.