Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Ali et Samir
Histoire gay publiée le 07/11/2018
Cela fait très très longtemps que j'admire les rebeux, moi Florent, qui n'ai pourtant pas le physique d'une crevette, 27a 180 80, mais par contre bien le mental d'un soumis. Avec un simulacre d'intelligence, je traînais depuis longtemps sur des sites gay à la recherche du secret des rebeux, pourquoi m'attirent-ils tellement, qu'ont-ils de plus sexuellement que quiconque pour que j'ai tellement envie d'être à leurs pieds... En fonction des expériences des gens, de ce qu'ils ont pu observer ou vivre. Le plus souvent ce sont les passifs qui répondent, et il m'est arrivé de tomber sur des actifs, qui pour seule réponse me proposaient de le vivre en vrai, c'est toujours mieux que de se poser tant de questions. Cet actif qui a réussi à me convaincre s'appelait Ali, bien foutu, 1,90m, 95kg de muscles, et 33 ans dont bientôt 20 d'activité sexuelle à son actif. Il me raconte qu'il est dominateur et qu'il aime ça, avec de bons gros besoins sexuels. Il ne l'explique pas, "c'est comme ça c'est tout" me dit-il. Evidemment comme tous les rebeux il me parle de son zboub : 21 par 6, gigantesque pour moi, normal pour lui. Normalement je ne me laisse jamais convaincre comme ça, mais inexplicablement j'ai cédé, il m'a décidé à le rejoindre chez lui. Le temps de me préparer, 1h30 de route, je partais en week-end ce vendredi après-midi dans le 94, pour moi petit provincial c'est un voyage, et la découverte de Valenton est un peu un choc. Arrivé à son adresse, j'ai le plaisir de découvrir que ce n'est pas un grand immeuble mais une maison individuelle, me voilà encore plus enchanté. Je sonne, et découvre Ali, grand, beau, magnifique, crâne rasé, les yeux marron, le regard perçant mais le sourire aux lèvres, un sex appeal du tonnerre ! Il m'ouvre la porte habillé en marcel bien humide, short et baskets : - Salut, Florent je présume :-) ? - Salut Ali, oui c'est bien ça. - Entre, dsl je t'attendais pas si tôt j'étais à faire ma gym, j'te fais visiter ? Il me montre le rez-de-chaussée, bien tenu, une bonne odeur semble provenir de la cuisine, bien loin de ce que je me faisais l'image d'un baisodrome puant et hygiéniquement douteux. D'enchanté je passe à encensé :-) ! Il a même sa salle de gym et une chambre d'amis dans laquelle il me propose de m'installer pendant qu'il va à l'étage prendre sa douche. Bizarrement j'aurais préféré qu'il n'aille pas prendre sa douche si vite. Mes affaires déballées en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, j'entends le bruit de l'eau qui coule. Déjà beau habillé, je décide d'aller discrètement le matter, pour accéder à sa salle de bains il fallait passer par sa chambre, sur le chemin, à tâtons pour ne pas faire de bruit, je tombe sur ses affaires par terre, son caleçon fraîchement porté. Inévitablement je le porte au nez pour en respirer l'odeur. Un parfum envoûtant et fort, que j'inspire à pleins poumons. Je pige de suite que la domination du rebeu commence déjà par l'olfactif ^^. Comme transporté par cette odeur de mâle débordant de testostérone je ne cesse de m'enivrer dans ce sous-vêtement. - Alors, on fait déjà sa salope ? - Euh, Ali, je... Il me prend le visage entre ses 2 mains mouillées. Je sens une puissance athlétique dans ses mains, il me parle d'une voix aiguë et, je le sens, avec retenue. - Nan mais tkt c'est flatteur p'tite lope. Par contre on rentre pas dans ma chambre comme ça. C'est qui ici le boss ? - Euh, c'est toi. Première petite claque qu'Ali m'inflige, il me regarde droit dans les yeux, et m'intimide énormément. J'ai toujours ses mains sur mes joues. - C'est bien ma chienne, je vois que t'es pas bête, tu piges vite, maintenant que je vois que tu aimes sniffer, tu vas sniffer, ne bouge pas je reviens. Tellement sous le choc de ce face à face c'est à peine si j'ose respirer. J'entends ses pas revenir vers moi, il me colle son caleçon sur la bouche et le nez, et m'entoure avec du scotch pour faire tenir le caleçon. Derrière moi, il me parle abruptement. - Tu voulais sniffer ? T'es content là de sniffer p'tite ? Je hoche la tête en signe d'approbation, pas bien fier là. - Maintenant tu gardes ça jusqu'au dîner. Va dresser la table. Je descend comme télécommandé par Ali, et prépare la table pour 2, c'est là qu'on sonne à la porte. Ne sachant quoi faire je reste figé. Je vois Ali descendre en caleçon propre et en t-shirt, il me dit de ne pas bouger. J'espère qu'avec mon caleçon sur la tronche on ne va pas ainsi me surprendre. - Yeaah Ali comment va mon pote ! - Yo Samir génial t'arrive tôt. - Yep ma dernière course n'était pas loin ! - Rentre rentre. Je vois débarquer un molosse, 1,95m à vue de nez, un peu plus baraqué encore qu'Ali, je dirais donc 110kg. Il semble avoir dans les mêmes âges que lui. Habillé en jogging, je crois deviner une protubérance entre ses cuisses. - Salut toi, me lance-t-il de loin avec assez peu de considération. Evidemment la bouche toujours dans le caleçon, dont l'odeur me pénètre toujours les naseaux, je ne répond rien. Ali ne me présente pas à son ami, la situation me semble ahurissante. Les 2 camarades s'installent à table, je ne bouge toujours pas, par contre Ali voit mon regard interrogatif. Il me retire le scotch et le caleçon. - Je te présente Samir, un pote d'enfance, on fait plein de choses ensemble. Je vois Samir me faire un clin d'oeil avec un sourire irrésistible, mais avec un brin de perversion j'ai l'impression. - Ah mince je t'avais pas dit qu'on serait 3. - Oh tkt Ali j'ai prévu ce qu'il faut, y'a même pas besoin de couverts et c'est déjà prêt ! - Eh ben voilà tout est arrangé. Je reviens. Je me retrouve seul avec Samir assis à table et moi debout comme une cruche. - Ben reste pas là, tu peux t'asseoir hein :-) ! - Euh je sais pas, faut peut-être mieux que je demande à Ali avant. - Oh ben tkt il va pas te manger hein ! Allez viens ! Je me dis que Samir doit mal connaître son pote c'est pas possible. Je m'installe malgré tout. - Par contre, tu foutais quoi avec un caleçon à Ali sur la figure mdr ? Pour seule réponse Samir a dû voir mon visage virer à l'écarlate. Un blanc s'installe rapidement alors qu'Ali revient avec des sodas. - Aaah yep Ali merci par cette chaleur c'est impec' ! Pas de limonade servie pour moi. Ils se mettent à discuter de banalités pendant un moment comme si je n'étais pas là puis finissent par dîner. C'est là qu'Ali demande à Samir : - T'as ce qu'il faut Samir du coup tu disais pour Florent ? - Ah oui exact, tiens Florent le menu est par ici. Mes yeux auraient pu quitter leurs orbites je crois bien, pendant que Samir me désigne son entrejambe. Je regarde Ali stupéfait, celui-ci me répond : - Ah ben si Samir dit qu'il a ce qu'il faut, je lui fais entièrement confiance. - Allez viens Florent tkt, vu comme je t'ai vu tout à l'heure tu vas bien aimer, ça a le même fumet, bien au chaud. Je reste bloqué ne sachant que faire, même pas 3 secondes que Samir a décidé pour moi. Je me retrouve la tête entre ses mains et le corps sous la table, le visage plaqué contre son entrejambe... Je reste bloqué ne sachant que faire, même pas 3 secondes que Samir a décidé pour moi. Je me retrouve la tête entre ses mains et le corps sous la table, le visage plaqué contre son entrejambe? Ne sortent de ma bouche que des semblants de mots de protestation, éssoufflés par le paquet que Samir plaque contre moi. Je sens la chaleur et l'odeur, toute la mâlitude de l'homme qui se dégage de ce jogging. Tout cela m'enivre, tant et si bien que rapidement je n?émets bientôt plus de réticence à ces mains plaquées contre ma nuque, faisant de ma tête un objet massant les parties de Samir. - Ah on va enfin pouvoir diner en paix, entends-je au-dessus de la table, ce me semble être Ali. - Pour l'instant moi c'est repas de Noël là ! Une bonne envie de fourrer la dinde d'ailleurs, lui répond son pote. Des rires généreux s'en suivent, pendant que je sens le barreau de Samir durcir et prendre de toute évidence une taille à en craquer le jogging ! Soudain Samir retire ses mains de derrière ma nuque et se recule pour me regarder : - À ce propos, tu ne veux pas ouvrir ton cadeau ? Hein, quand on reçoit un cadeau, la moindre des choses, c'est de le déballer ! Pas vrai, Ali ? - Allez Florent, tu nous vexerais, répond-il, avec je sens une pointe d'amusement et à la fois de persuasion. N?étant pas encore très à l'aise avec toutes ces choses-là, je tire timidement et délicatement sur le jogging de Samir pour en arriver à son caleçon, qui ne retient presque rien de l?érection toujours grandissante de son propriétaire. Je regarde Samir, qui d'un sourire satisfait me balance : - Ah on voit que tu n'as pas été gâté souvent toi, tu vois il y a 2 emballages, vas-y ouvre tu seras pas déçu. Je m'exécute, et fais sortir de son caleçon sa bite. Que dis-je, un gourdin que bien des acteurs pornos aimeraient avoir entre leurs jambes ! Et encore elle n?était pas encore en érection totale. Et que dire de ses couilles, de bonnes grosses couilles qui sortent tout juste du caleçon, bien chaudes, bien chargées aussi on croirait. Devant ma stupeur (ai mieux un visage ahuri avec une bouche ouverte et un regard abasourdi) Samir éclate de rire : - Ah des têtes comme ça, je ne m'en lasse pas ! Ce soir, la dinde, c'est toi qui vas déguster ! J'ai bien envie de te charcuter avec mon ustensile, petite lopsa. Allez la petasse, enfourne ! Le temps de comprendre ces paroles, je restais béat, il n'en fallut pas plus pour que Samir me montre le chemin, ses mains de retour derrière ma nuque m'indiquant (enfin me invitant plus exactement) la voie : ouvrir ma bouche et avaler ce morceau de chair ! D'au-dessus j'entendais parfois quelques instructions. - C'est bien Florent, continue de me pomper, tu verras j'ai un autre cadeau pour toi c'est encore mieux. Crache bien, lubrifie ta gorge, elle en aura bien besoin. D'un coup je sens une grosse gifle s'abattre sur ma joue, et j'entends au-dessus : - Sans les dents, s'te plait ! Et comme un jouet sur lequel on appuie sur les boutons j'obéis au doigt et à l??il (et à l'oreille en l'occurrence). Je continue d'exécuter ses instructions à la lettre pendant plusieurs minutes, toujours coincé entre sa queue et ses mains puissantes, quand je sens qu'il souhaite prendre la direction des opérations, c'est alors que s'entame un ballet d?étoiles devant mes yeux, je ne comprends plus trop ce qu'il m'arrive, on appuie contre ma gorge de l'intérieur en va-et-vient rapides, je ne fais plus attention au reste de mon corps tant le facefucking que je suis en train de subir est soutenu et puissant ! Petit à petit je retrouve mes esprits et gère au mieux ce pénétration buccal dont je fais l'objet, si j'avais pu m'attendre à ça en sonnant à la porte d?Ali. C'est quand même fou, moi qui tentais de comprendre comment les rebeus m'attiraient-ils tellement, j?étais en train de le vivre, mais sans le comprendre. Il faut croire que certaines choses ne s'expliquent pas, c'est irrationnel, ça m'attire sans raison. Les paroles de Samir eurent pendant ce temps tôt fait de m'y ramener, à la raison, lorsque j'entendis : - Wow j'commence à être chaud là, tu as l'air d'avoir bien faim ma petasse. Comment on fait Ali ? - Vas-y nourris là cette pétasse, 27 ans et elle y a toujours pas gouté, aboie Ali. Entendant ces mots, je me dis en moi-même que je vais me réveiller, que le cauchemar va prendre faim, que tout va s'arrêter avant que je ne devienne plus qu'un réservoir à sperme rebeu ce soir. Peine perdue, je sens se raidir dans ma bouche le membre kingsize du roi Samir maitre de moi à cet instant, déversant son foutre chaud dans ma gorge. J'ai des haut-le-c'ur, sensation bizarre, Samir se retire afin que je puisse respirer. - T'inquiète ma petasse, c'coup-ci tu n'as pas pu tellement gouter, je juterai plus tard sur ta langue pour que tu connaisses bien le goût de la obéissance, me lance Samir avec un clin d??il terriblement sexy. Bon ce n'est pas le tout, mais dans l'histoire je n'ai pas encore mangé moi. C'est alors que Samir se lève de table pour aller se laver les mains, tandis qu?Ali s'approche de moi et me demande : - Alors p'tite lope, tu comprends pourquoi tu as envie d?être à nos pieds ? Je n'ose répondre, tellement peur de répondre quelque chose qui ne lui plairait pas ou d?être à côté de la plaque. - Je t'ai posé une question ! - Oui. - Oui qui ? - Oui, mon Boss. - Tu retiens bien, me dit-il avec une petite claque qui me parait à la foi pleine de dédain et à la fois de comme une sorte d'affection pour moi, assez indescriptible. Il reste encore de l'entrée, mais t'inquiète on passera au plat de résistance bientôt. J'espère que tu as vraiment très faim ! Ça de toute évidence, ça n'appelait pas à une réponse. Donc je préfère ne rien dire et attendre, toujours sous la table. Mes genoux me rappelaient d'ailleurs que ça commence à faire un moment que je suis agenouillé, mais n'ayant pas eu d'autre consigne je restai là, prostré. Samir revenait à table et je vois sur ma gauche Ali en train de déballer ses atouts, encore en demi-molle mais déjà prometteuse cette queue, me dis-je. Je réalise alors que je en train de devenir sacrément lope pour penser directement comme ça ! - Elle est pour toi, fais-en ce que tu en veux, me dit Ali. Sans réfléchir, je m'en approche doucement, et saisis l'engin de ma main droite, tentant adroitement de ma main droite de lui masser les couilles, de bonnes grosses couilles je dois dire. J'entends alors Samir s?écrier : - Si là elle n'est pas consentante la tepu ! Elle t'a choisi Ali c'est une bonne salope ça ! - Yep, c'est bien ma chérie tu as fait le bon choix, crois-moi tu ne vas pas le regretter. Et qu'est-ce qu'on dit ? - Merci mon Boss. - Continue de téter et de jouer avec ton biberon ma chatte. Et comme si de rien n?était, les 2 potes se font la conversion banale pendant que moi, Florent, 27 ans, 1,80m, 80kg, est en train de copieusement sucer l'un de ces 2 beaux athlètes ! Et on peut dire que j'y mets du c'ur à l'ouvrage : je tête le gland, j'avale tour à tour chacune de ses couilles, j'enfourne tout son membre en gorge profonde comme je peux, avec des va-et-vient tantôt lents, tantôt rapides, j'aspire, je lèche toute sa bite afin de mieux l'apprivoiser en gorge, c'est sûr que 21 par 6, ce n'est pas évident quand c'est la première fois. Tout à l'heure avec Samir rapidement je n'avais plus grand-chose à gérer puisqu'il contrôlait le mouvement. Là ce n'est pas si évident, car j'ignore parmi toutes ces techniques que j'apprends à faire en direct quels sont les gestes précis qui plaisent le plus à Ali. La seule chose que je sais, c'est qu'ils n'aiment pas du tout les dents, et me le font vite savoir. Pendant que je tente de faire en sorte que mon hôte ait du plaisir à se faire pomper de la sorte, je sens que l'on commence à s'intéresser à mon arrière-train. On déboutonne mon jean, on le fait coulisser jusqu?à mes genoux, on fait de même avec mon boxer, et on me tâte le sexe. - Ali, ça lui plait à ta petasse de s'occuper de toi, elle bande comme un roc cette tasspé ! Une belle p'tite tige minable qui sert à rien ça, on dirait un micropénis ! sortit en rigolant Samir qui au passage me donna une petite tape dans mes couilles. C'est drôle car je me sens partagé entre Ali, pour qui j'ai l'impression d?être un peu pris en considération malgré tout, ce qui me plait, et de l'autre côté Samir, avec son attitude tellement virile et clairement détachée de ce que je peux être pour lui en dehors d'un trou (enfin bientôt 2 car pendant que je cogite, un doigt commence à dangereusement me fouiller l'anus). En tout cas ça ne m?étonne pas qu'ils fassent plein de choses ensemble tous les 2, comme Ali le disait en me faisant les présentations tout à l'heure. - Détends ta chatte, ma salope, détends ta chatte, tu vas voir, tu vas aimer, me dit Samir en cherchant à ouvrir de son doigt mon orifice. Je ne me sens pas du tout prêt à prendre quelque chose dans mon fondement, sauf que ça me parait mal barré de protester vu la situation. Je tente quand même entre 2 succions d?émettre : - Non Samir s'il te plait, ça me fait vraiment mal. Pitié. - Laisse Sam, Florent est avec nous pour le weekend, on aura tout notre temps pour l'ouvrir. - Tu es marrant toi, je n'ai pas que ça à foutre de tout mon weekend d'attendre qu'elle s'ouvre cette chienne. Repasse-moi sa bouche alors parce que sinon elle va prendre cher de suite là. Et comme une vulgaire marchandise je suis pivoté pour aller de queue en queue. - Par contre Ali tu l'as bien choisi ta lope, les cheveux longs, c'est toujours plus pratique. Et Samir, de toute évidence motivé, me tire par les cheveux, me sort de sous la table. Je suis à genoux devant lui debout, sous sa bite fièrement bandée, je contemple un instant toute l?étendue de sa puissance physique et de sa domination. Il me regarde de haut quelques instants. - T'aimes c'que tu vois p'tite lope ? Je hoche la tête plusieurs fois doucement en signe d'approbation. - C'est bien. Ouvre grand ta gueule. Samir me crache plusieurs molards, me bifle vigoureusement, puis fait entrer sa bite doucement dans ma bouche, et la ressort, plusieurs fois. Je me sens comme une fourmi devant un bulldozer. Samir s'enfonce au plus profond, et c'est pas peu dire. J?éssouffle, j'ai un début de renvoi, il le sent et se retire, et recommence plusieurs fois, avant de reprendre sa séance là où il l'avait laissée tout à l'heure, c'est-à-dire du facefucking comme il aime. Sauf que là il va à fond, moi qui croyait qu'il l?était déjà lorsque j?étais sous la table ! J'ai de nouveau ces étoiles dans le regard, je n'entends plus très bien ce qui se passe autour de moi, je crois perdre connaissance?