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Slimane le beau rebeu algérien
Histoire gay publiée le 26/09/2018
Slimane est un beau rebeu algérien aux yeux verts et au corps musclé par sa passion, la boxe. Je le kiffe, genre, je rêve qu'il me baise depuis que j'ai des poils au cul. Lui c'est un peu le keum inaccessible, le mâle alpha, celui qui en impose rien que par sa présence. J'ai toujours eu peur de lui montrer que je désirais son corps poilu, sa queue qui lui fait un si gros paquet au repos. Le seul moyen que j'ai trouvé pour passer du temps avec lui, c'est de me rendre utile. Je le sers, je lui roule ses joints, je fais quelques courses pour lui quand il en a besoin. Je joue le meilleur pote, j'ai même mon petit surnom « Bambi » qu'il est le seul à utiliser. Si les autres gars m'appellent comme lui, il leur fout des baffes derrières la caboche. Ça me fait plaisir qu'il me considère un peu comme si j?étais à lui, mais il y a toujours des gonzesses qui gravitent autour et il en profite allégrement alors que je crève de jalousie dans mon coin. Hier, chose rare, nous n?étions que tous les deux dans son appart et j'ai senti qu'il allait se passer un truc. Je ne pensais pas à une partie de jambe en l'air parce que ça faisait longtemps que je m?étais fait une raison. Mais j?étais sûre que Slimane allait me parler de trucs personnels, des choses qu'il ne dit à personne d'autre. On regardait un film pourri et je venais d'allumer le joint pour lui, quand il m'a regardé et m'a demandé dans le souffle brumeux de son splif : ? Pourquoi tu ne fais jamais ce que tu penses ? Il était affalé dans le canapé, en marcel et en survêtement. Il m'a fixé comme s'il voulait lire mes pensées. Je ne savais pas quoi répondre, je sentais seulement qu'il était un peu énervé. J'ai alors dis que je faisais ce que je pensais, sinon je ne serais pas là, avec lui. Il a soupiré et secoué la tête. ? Non, si tu faisais vraiment ce que tu voulais, Bambi, tu serais entre mes cuisses à me pomper la queue. Tu crois que je vois pas que tu baves devant moi. On se connait depuis qu'on a sept ans mec, je sais que tu veux mon jus dans ton cul. Je me suis retrouvé pris au dépourvu, un peu con sur les bords. J'ai bafouillé comme une pucelle : ? Tu veux... tu veux que je te suce ? Il a de nouveau soupiré avant de reprendre une grosse taffe et me tendre le joint. Je l'ai saisi du bout des doigts et j'ai fumé. Il m'a alors attrapé par la nuque pour me rapprocher rudement de lui. ? Faut que tu comprennes un truc, Bambi, t'es à moi, OK ? Que j'apprenne pas que t'as fait la lope dans les caves ou j'te . Tu peux baiser toutes les morues que tu veux, mais t'a pas intérêt à te mettre à quatre pattes devant un autre keum que moi. Ta bouche et ton cul sont ma propriété. Si tu veux un coup de bite, tu viens me voir. C'est compris ? Il était agressif et il sentait fort le mâle en rut. Moi, j?étais juste tremblant, je ne savais pas quoi faire. J'ai acquiescé et il m'a lâché. Pourtant, je suis resté aussi proche de lui que s'il m'agrippait encore. ? Je croyais que... que t?étais pas pédé. Il m'a repris sèchement le tarpet des mains. ? Pour toi et ta gueule d'ange, je fais une exception. T'es comme ma meuf Bambi, toujours aux petits soins pour moi. Je peux l?être aussi pour toi. Alors si tu veux vraiment aller jusqu'au bout, active-toi là, j'ai les couilles pleines depuis trop longtemps. D'habitude j'ai pas besoin de t'parler pour que tu fasses ce qu'il faut. , Slimane voulait que je le pompe et ses yeux d'un vert profond étaient tellement exigeants. Je suis resté figé jusqu?à ce qu'il bouge, pose le oinj pour baisser son froc et sortir sa grosse bite mi dure. ? Tu vas m'obliger à te prendre de puissance ? m'a-t-il demandé sérieusement alors qu'il se dessapait en jetant ses fringues au sol. Putain, il était trop beau avec son corps aux muscles saillants recouverts de poils sombres qui piégeaient une odeur épicées de sueur. J'ai secoué la tête, incapable de parler et j'ai attendu qu'il se rassoit pour venir toucher timidement son calibre qui gagnait encore en dureté. Sa bite circoncise en panache était épaisse, bronzée, chaude et magnifique. Ses deux grosses couilles pendaient bien et je les ai prises en main en même temps que je commençais à branler mon fantasme de toujours. Je salivais rien qu?à l'idée d'apprendre le goût intime de mon Slimane. J'ai posé ma bouche sur la fine peau tendu du gland gonflé du lascar aux yeux verts. Je l'ai léché comme si je vivais un rêve et il a posé ses paluches sur ma tignasse, réclamant silencieusement que je le gobe. Je l'ai sucé comme si ma vie en dépendait et j'adorais sentir l'obligation qu'il m'imposait de le prendre au plus profond de ma gorge. Je m?éssoufflais, j'avais mal à la mâchoire et salivais comme un salope, mais j'avais jamais été si heureux de me retrouver seul avec Slimane qui grognait son plaisir. ? Vas-y Bambi, c'est bien, murmura-t-il en appuyant sur ma tête avec puissance pour que je le gobe. Au bout de quelques longues minutes, je me suis détaché de lui pour reprendre mon souffle et j'ai retiré mes habits avec une rapidité que je ne me connaissais pas. Nu et frêle devant mon fantasme sur patte je n'avais plus qu'une envie : qu'il me défonce le fion et me fasse crier comme jamais. Il s'est levé, m'a attrapé la nuque avec possessivité et il a tiré sur mes cheveux courts pour que je me soumette à sa puissance de boxeur. Puis il a baisé mes lèvres avec ardeur jusqu?à ce que j'ouvre la bouche pour sentir sa langue se presser contre la mienne. Nos roulages de pelle se sont faits baveux, empressés et Slimane m'a ensuite écarté de lui. J'attendais qu'il revienne me bouffer les lèvres, mais au lieu de ça, il a craché dans ma bouche. C?était genre, comme une putain d'offrande salivaire et j'ai avalé pour mieux attendre qu'il recommence. Je me sentais fiévreux, je voulais juste qu'il m'entreprenne et quoi qu'il décide, je serais à sa merci. Il a pris une inspiration et m'a invite à poser mon front contrer le sien. Je bandais comme un malade et je branlais son énorme bite à l'aveuglette. ? Dis-moi ce que tu veux Bambi, m'a alors exigé mon tortionnaire. ? Je veux ta queue Sli, je... je veux que tu me pilonnes et gicle dans mes tripes. Je... je suis ta lope, rien qu?à toi. Je tremblais, j?étais essoufflé, je ne savais plus, ma tête tournait et seul les bras de Slimane comptaient, la puissante odeur de son musque viril. ? C'est bien ce que je pensais. Mais si t'es puceau du cul, alors on va prendre le temps d'accord ? J'veux que tu vénères ma matraque pas qu'elle te fasse peur. ? Tout ce que tu veux Sli, tout... Et là, j'ai découvert que malgré son côté bourru, mon pote Slimane était un mec tendre et attentionné. Il m'a bouffé le cul tout en me branlant. Il m'a préparé avec ses doigts et dès que je montrais des signes de douleurs ou d'inconfort, il calmait ses gestes et tentait de me faire oublier avec des baisers et de douces branlettes sur ma fine queue de blanc bèque. Pourtant j'en voulais tellement que j?étais frustré qu'il soit si prévenant. ? Sli, mets-moi ta grosse bite, mets-là moi, j'en peux plus, j'la veux en moi. J?étais pathétique de besoin, je suais à mort et l'ivresse du me mettait dans un état d'envie qui ne serait calmé que par le braquemard de mon rebeu préféré. Il m'a ordonné de me mettre à quatre pattes et je me suis exécuté comme une bonne petite chienne bien dressée. ? J'arrive Bambi. Putain t'es chaud à mort. Il cracha sur ma rondelle et enduisit son sexe de sa propre salive avant de le poser entre mes fesses. Et là, il m'a pénétré progressivement. J'ai crié de douleur et me suis crispé sur son membre démesuré. Pour le sentir passé, je l'ai senti et j'en avais presque les larmes aux yeux, je hoquetais comme si j'avais oublié comment respirer. Il est rentré jusqu?à la garde et a attendu que je me détende avant de commencer à bouger. Il y allait doucement, tendrement, faisant en sorte que je sois ouvert comme il fallait. J'ai perdu la tête, je gémissais comme une chatte en chaleur. ? Oh Bambi, pourquoi on n'a pas fait ça avant, putain, t'es trop bon, trop. Et là, il m'a vraiment baisé, allant et venant en moi avec puissance, faisant claquer se couilles pendantes sur les miennes. Je haletais, je criais, je gémissais, j'en voulais plus. La douleur était devenue un plaisir dévorant et je souhaitais que Sli me ramone le fion, qu'il me prenne avec rudesse. J'en miaulais d'envie m'affaissant au sol pour tendre mon cul à mon bienfaiteur qui se donnait à c'ur joie pour me culbuter comme dans un rêve. Et puis Slimane a commencé à me branler en même temps qu'il me défonçait la raie. Je n'en pouvais plus, c?était tellement intense. J'avais l'impression que mon corps brulait et je réclamais l'enfer comme s'il en était le roi. Puis il s'accrocha à me épaule et fit peser tout son poids sur moi pour me déboiter le cul et je n'arrivais plus à penser à rien d'autre qu?à sa bite qui m?éclatait l'intérieur pour me faire voir des étoiles. Slimane m'a tellement dosé que je ne savais plus où j?étais. Et là, il s'est mis à gronder et à augmenter encore plus l'allure de ses coups de butoir. ? Je viens, a-t-il murmuré, sa voix rauque et enfiévrée. ? Oui... oui, viens en moi, viens Sli, je... j'ai besoin, s'il te plait ! J'ai crié et éjaculé jusqu?à en perdre la raison rien qu?à l'idée qu'il voulait se répandre dans mon corps. Je me suis resserré autour de sa grosse bite qui plongeait en moi et il a giclé si fort que j'ai senti qui me remplissait de tout son foutre. J?étais défait et il me fallut un temps pour revenir sur terre. J?étais allongé sur le ventre à même le sol et Slimane a sorti sa grosse verge de mon cul. Ce vide soudain m'a presque fait pleuré et j'ai haleté comme un désespéré. Mon rebeu m'a relevé et m'a tendrement guidé vers le canapé ou il m'a embrassé. Sa langue était si douce, ses baisers puissants. Je me suis laissé faire et je participais à l?échange avec un envie qui faisait remonter mon érection. ? J'ai... je... prends moi, je veux encore te vider les couilles, Sli, encore. ? Du calme Bambi, Babar se repose un peu. Je vais finir mon joint et tu vas en rouler un autre. Après, je te jure que je vais te prendre dans toutes les positions. Je vais de secouer dans chacune des pièces de cet appart. T'es ma chienne et je veux t'entendre hurler mon nom comme tout à l'heure. ? Oui. Et c'est ce qui s'est passé. On a même dormi ensemble et quand on s'est réveillé, Slimane m'a de nouveau tringler dans son lit. C?était tellement putain de bon et en même temps j?étais usé de la veille, j'avais mal partout. Mais mon rebeu avait un appétit de tous les diables et je suis sa chienne. Il me veut rien que pour lui et je crois que je suis devenu complètement accro à sa queue, à son sperme, à sa forte odeur de sueur, à ses poils. Je lui ai promis de revenir ce soir, même si je sais plus comment m'assoir tellement il m'a défoncé le cul. Mon Slimane, prends- moi, oui, prend-moi. ?