Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Dressé pour encaisser des grosses bites arabes
Histoire gay publiée le 26/09/2018
J'ai découvert que j'aimais les queues quand j'avais 18 ans, de la manière la plus hard qui soit. J’étais un garçon de bonne famille mais Aziz était l'un de mes potes et il vivait dans la cité près de l'ancienne usine désaffectée. Je me dévergondais avec lui et ce n’était pas rare que nous fumions ensemble les mercredis après-midi quand nous n'avions pas cours. Mais ce mercredi du mois de mai de mes 18 ans, tout a été différent. Nous étions dans la cage d'escalier de son bâtiment en train de rouler des joints à se prendre pour des bonhommes et c'est là que son grand frère Mounir est arrivé avec sa bande de potes. Ils étaient dix et tous paraissaient être des lascars trempant dans des affaires pas très nettes. Mounir n'a pas apprécié de voir son petit frère traîner et fumer ici. Il a commencé à enguirlander Aziz en lui disant qu'il n’était qu'un petit con qui se prenait pour un keum alors qu'il n’était qu'un gamin sans cervelle. Pourquoi il fumait là où étaient susceptibles de débarquer leurs parents ? Moi j’étais pétrifié, mon cœur battait à mille à l'heure et j'avais la tête qui tournait à cause du . Mounir a foutu des baffes à son petit frère et lui a ordonné de monter. Mon pote avait beau faire le brave, je voyais bien qu'il avait les jetons d'avoir mis son aîné en rogne et il est parti, sans même un regard vers moi. Adossé au mur, je m’étais fait le plus petit possible mais Mounir me remarqua et vint vers moi. Il était impressionnant et je ne savais pas comment réagir devant lui. Il s'est foutu de ma gueule en disant que j’étais un gosse de bourges qui se la jouait racaille mais que je n’étais qu'un petit pédé sans rien dans le froc. C'est là que Bouba est intervenu. Il a proposé à leur groupe de me montrer c’était quoi des vrais mecs et si Mounir a hésité deux secondes, il a fini par valider silencieusement l'idée. Je me suis retrouvé entraîné par ce groupe de lascars d'une vingtaine d'année dans le dédale des caves du bâtiment dans lequel avait grandi mon meilleur pote. Ils me malmenaient à tour de rôle, me poussant pour que je les suive, me foutant des baffes derrière la tête. J'avais grave les boules et je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas trembler. Peut-être qu'avoir fumé juste avant m'avait fait un peu perdre le contact avec la réalité des dangers qui m'attendaient et si je craignais qu'on me casse la gueule, j’étais étrangement calme. Puis nous sommes arrivés dans une petite pièce vide et Bouba ferma la porte à clé. Un des gars m'obligea à me mettre à genoux et si je couinais de crainte, je fis tout ce qu'on me demandait. C'est là que les dix keums qui m'entouraient commencèrent à baisser leurs frocs. Mounir bandait déjà et ce fut le premier à venir vers moi, sa grosse bite circoncise à la main. Il m'a obligé à poser ma bouche sur son gland et au début, j'ai tenté de me défaire de son emprise sous les ricanements de ses potes. Le frère de mon meilleur ami m'a foutu un claque sur la joue et m'a ordonné de le sucer en m'enfonçant son sexe dans la bouche. J’étais mort de peur et j'ai commencé à me laisser faire pour ne pas qu'il me frappe encore. Et puis, il y eut une sorte de déclic dans mon propre corps alors que le goût de Mounir se diffusait sur ma langue, comme une montée incongrue de désir. Je me suis retrouvé à branler mon tortionnaire alors que je gobais sa queue et il vint de plus en plus profondément dans ma bouche. Quand je lâchai mon premier gémissement, Bouba rigola en disant qu'il le savait. J'aimais ça, j’étais bien la petite salope qu'il avait vue alors que je jouais à me prendre pour une racaille juste parce que je fumais des splifs avec un rebeu. Mounir m'agrippa la tignasse et me força à relever la tête pour le regarder. Je pleurais mais c’était parce qu'il avait enfoncé sa teub si loin dans ma gorge que j'avais dû retenir mon envie de gerber. Et pourtant, je bandais comme jamais. Ces types m'avaient pris en otage pour que je les suce dans une cave et au lieu de trembler de peur, j’étais dur comme jamais. Mes sous-vêtements m'entravaient d'ailleurs désagréablement. Je ne sais pas à quel moment ça a dégénéré mais je me suis retrouvé à sucer chacun d'eux, les uns derrières les autres. J'entendais leurs commentaires et Mounir venait de dire que j'apprenais vite quand Abdoul décida que ma bouche n’était pas suffisante pour tous les satisfaire. On m'a foutu à poil sans que je ne comprenne comment et bientôt l'un d'eux cracha sur mon cul avant d'enfoncer un doigt dedans. Alors que je suçais de nouveau la queue de Mounir, je n'eus même pas la possibilité de protester. Le frère de mon meilleur pote me pilonna la bouche tandis que quelqu'un s'occupait de me dilater la rondelle et je n'arrivais plus à penser à rien d'autre. Le gland de Mounir flirtait avec mon gosier et je m’éssoufflais sous ses coups de reins. Je bavais comme une salope et ma vue était floue. Et c'est là que les doigts dans mon cul sortirent pour être remplacés par un sexe énorme qui me déchira l'arrière-train en une poussée qui me fit recracher le sexe de mon premier assaillant. J'aurais dû être horrifié par la douleur qui me transperça, pourtant, mon sexe m'envoya les décharges d'un plaisir électrique et inimaginable dans tous mes membres. J'ai crié et Mounir félicita son pote derrière moi avant de reprendre mon visage dans ses mains calleuses pour m'obliger à gober sa grosse queue et me encourager à reprendre ma tâche là où je l'avais laissée. Alors qu'on me défonçait le cul, je geignais comme une petasse en chaleur sur la queue du mâle le plus viril que j'avais jamais vu. Quand Mounir délaissa ma bouche je gémis de frustration. Pourquoi j'aimais ça ? Bouba le remplaça rapidement et je m'activais à lécher et engouffrer le sexe du renoi qui sentait fort la sueur tandis qu’Abdoul continuait de me culbuter sans vergogne. Quand il eut fini de me tringler, Mounir prit sa place et là je sus vraiment ce qu’était un homme. Sa bite me ramona si fort, elle était si épaisse et prenait tant de place dans mon cul. J’étais complètement écartelé et alors qu'il me pilonnait, je voyais des étoiles. Chaque douleur se transformait en feu qui me consumait ensuite de plaisir. C’était aussi fou qu'insensé. Ils me baisèrent, chacun leur tour, ils me prirent dans tous les sens et au lieu de pleurer je réclamai que cela perdure et continue. Je ne me rappelle pas de leur visage à tous, je sais seulement que le goût de leurs bites restera gravé dans ma mémoire. Certains m'ont giclé dans la bouche, d'autres sur le corps, mais Mounir m'a baisé plusieurs fois et à chacune d'entre elles, il a lâché son foutre dans mon cul. À la fin, je n'arrivais plus à rien, je ne tenais plus en l'air et quand ils furent tous partis, le frère de mon meilleur pote resta là. Il me branla jusqu’à ce que je me perde dans un orgasme qui me déboussola totalement et quand je revins à moi, il était toujours là à constater l'outrage auquel lui et ses potes m'avaient soumis. Il m'a jeté un torchon dégueulasse et m'a ordonné de m'essuyer avec. Il m'a aidé à me rhabiller et m'a guidé vers la sortie. Je ne sais pas comment j'ai fait pour retourner chez moi. J'avais conscience que j'avais été enculé mais en mon fort intérieur, je savais aussi que j'avais aimé ça, tellement que je ne parvenais pas à débander. Quand je suis arrivé à mon domicile, j'ai couru sous la douche et j'ai pleuré. Mais je me suis aussi branlé en repensant à la grosse queue de Mounir. Après ce jour, j'ai cherché à revivre ça. Je n'ai rien dit à Aziz mais je continuais de traîner avec lui dans l'espoir de revoir son frère. Combien de fois m'a-t-il baisé dans la cave de leur bâtiment depuis ? J'ai perdu le compte mais dès qu'il me contacte, j'accoure pour qu'il me tringle. La plupart du temps nous ne sommes que tous les deux mais parfois il m'offre en pâture à ses potes et je me laisse culbuter par chacun d'eux. Je les suce et je me gave de leur sexe, de leur foutre crémeux.