Histoires de sexe

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Le rebeu du bar
Histoire gay publiée le 24/07/2018
Salut à tous, c’est Romu. Le week-end dernier, j'ai travaillé en extra pour dépanner un pote dans son bar. C'était bien cool. Dans le courant de la soirée, deux rebeus sont venus se poser au comptoir et ont commandé plusieurs tournées de limonade à la suite. L'un des deux était un pur canon : grand, peau bien mate, yeux noirs, coupe courte et entretenue, petite barbe de 3 jours, lèvres fines ... et il avait l'air d'avoir un bon paquet dans son short. Au cours de leur conversation, j'ai appris qu'il s'appelait Saïd. Je l'ai longtemps regardé du coin de l’œil tout au long de la soirée. Il me faisait saliver. À la fin de la soirée, ils étaient un peu amochés. Ils ont pris une dernière tournée et le deuxième rebeu s'est levé de son tabouret, a payé son dernier verre et a quitté l'établissement. Saïd est encore resté un peu au bar. Il tapotait sur son téléphone. Le bar s'était complètement vidé. Il ne restait plus que moi et lui. Je lui ai annoncé à contre-coeur : « je vais devoir fermer monsieur ». Il m'a répondu « ok je termine et j'y vais ». J'ai terminé de nettoyer le bar et la salle et je sentais par moment qu'il me regardait. J'ai tiré tous les rideaux et suis revenu au bar. Au moment de payer, il m'a demandé « tu connais pas un coin où j’pourrais trouver une meuf ? ». « Une meuf ? » j'ai demandé. « Ouais, une petasse quoi, tu vois ce que je veux dire » a-t-il précisé. J'ai fait semblant de réfléchir quelques instants avant de répondre « ben non, je ne vois vraiment pas ». Il a soupiré et a dit « pffffff, fait chier putain. J’me serais bien vidé les couilles putain. Franchement tu ne connais pas une rue ou y’aurait des putes à baiser dans cette ville ? ». « Ben non » j'ai répondu. Il cherchait sa carte bleue dans sa poche de short et j'ai pu voir qu'il avait déjà un semblant de trique. Il m'a regardé avec insistance et m'a demandé presque en chuchotant « et toi, tu suces ? ». La question m'a tellement gênée que je n'ai pas su quoi répondre. Il m'a dit « écoute mec, j'vais pisser un coup. Si tu suces tu m'rejoins aux chiottes, j’te fais la totale tellement j’suis chaud et en plus j'ai un peu pris une charge là ». Il se dirigea vers les WC au fond du couloir. Il ne ferma pas la porte et je l'ai entendu pisser. J'ai fermé toutes les portes du bar et suis discrètement allé le rejoindre dans les WC. « C'est bien ce qui me semblait » il m'a dit en se retournant vers moi. Il était en train de se branler tranquille et avait déjà une belle gaule. Je me suis mis à genoux devant lui et il m'a imposé direct une gorge profonde. Sa bite était énorme. Je n'ai pu en avaler qu'une partie avant de m'étrangler à moitié. Il me lima la gueule pendant dix bonnes minutes en poussant des râles de mec en rut. Puis il me releva et me plaqua contre le mur en carrelage. Il baissa mon froc et m'enfila direct 2 puis 3 doigts dans la chatte. « Putain, faute de petasse, c’est toi qui va prendre mon gars, t'as l'air d'être encore une meilleure salope ». Il plaqua son gland contre mon trou et commença à pousser pour entrer au moment où je lui dis « t'as pas une capote ? ». Il me répondit « comment tu veux que j’te féconde si j’mets une capote ?! » et il me pénétra d'un coup de toute la longueur de sa bite. Je sentais son gland au fond de mes entrailles, gonflé et dur. Je la sentais vraiment bien en moi !! Il fit des va-et-vient pendant plusieurs minutes puis il me fit me cambrer en mettant mes mains sur la cuvette des chiottes et put encore entrer plus profond en moi. Il me lima encore et encore puis je le sentis se crisper, retenir sa respiration et enfin je sentis son éjaculation en moi, 5 longs jets de sperme chaud envahir mon corps. Il me mettait de grands à-coups à chaque giclée et resta en moi quelques secondes. Quand il se retira je sentis du sperme me couler de la chatte le long de ma fente. Il remonta son short et me dit : « j’suis au camping à côté toute la semaine, on remet ça un de ces soirs et si t’es sage, j'en parlerai à mon pote ! ». Il partit, j'entendis la porte claquer, je m'assis sur les chiottes avec la sensation d'avoir envie de chier, je poussai à peine que je sentis couler une rivière de sperme encore humide. À suivre ...