Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le rituel de Kader
Histoire gay publiée le 16/07/2018
Quand il a envie, c'est le même rituel. Je sors du sport bien transpirant et je passe le voir à son appartement. La porte au 2ème étage est entr’ouverte. Il m'attend en petit déjeunant. Je rentre. Je pose mon sac de sport par terre puis je me mets à genoux devant lui. Mes mains montent le long de son torse et je viens lui caresser les tétons. Pas lui pincer, lui caresser. Moi seul y arrive selon ses dires. Son gland commence alors à dépasser de son short, je m'exécute : coups de langue autour de son beau gland circoncis qui grossit grâce à l'action de mes doigts. Kader commence à fumer et à se détendre. La journée sera bonne dit-il. Puis il se relève tout en me maintenant la tête, parcourt avec ses doigts mes dessous de bras. Il est heureux, je suinte. Il me relève et vient me lécher le dessous du bras gauche, je fais de même. Même rituel avec le droit. Puis nous nous enlaçons. Avant de monter à la mezzanine, Kader m'entraîne au niveau de la salle de bains. La pisse chaude du matin ruisselle sur mon corps dans la cabine de douche. Kader a les yeux brillants, il est très content. Je monte sur son lit en haut de l'escalier raide, il m'attend en mode pacha, allongé les pattes bien écartées, le gland bien grossi. Je m'allonge sur lui, je mange son gland encore plus gros et mes mains viennent sur ses tétons. Kader veut voir si je suis enfin près ce matin. Il tâte mon trou et me dit « tu me diras quand tu seras prêt ». Je relève la tête. Pas besoin de donner ma réponse. Il me dit de venir s'asseoir sur lui et de continuer le travail des tétons, doucement, tranquillement. Son gland frotte mon cul poilu. Kader est beau. Son regard est concentré. Puis naturellement, le gland rentre. Kader me rassure. Il va encore plus loin. Il sent que je m'ouvre. J'ai l'impression que je tombe dans un puits glacé. Tout est trouble en moi. Kader me caresse, me câline et reprend les va-et-vient. « On a le temps pour la fécondation ». Il se retire et me dit de m'allonger, que je serai mieux. Il relève les jambes, mes mains se posent instinctivement sur ses tétons et nous reprenons. Que c'est bon. C'est sensuel et sexuel. Kader va un peu plus vite tout en prenant son temps. Je commence à rouvrir les yeux. Il est là entre mes mains et son regard brillant devient plus noir. Il m'en avait toujours parlé mais je n'avais jamais pu l'observer. Il va donc juter. Il ne me quitte plus des yeux. Mon cul est à lui et lui seul pourra en faire ce qu'il veut. Il se retire une deuxième fois et jouit sur mon cul poilu avant de venir enfoncer dans un dernier soupir la semence si précise. Je ferme de nouveau les yeux. Un sentiment de satisfaction m'habite. Je m'allonge. Quand je reprends mes esprits, Kader fume en bas tout en étant au téléphone. Il me fait un clin d’œil, je m'agenouille devant lui. Il me pose la main sur la nuque puis je prends mon sac de sport ... Je vais être en retard au premier cours de la fac qui est presque en face. Dans l'escalier vermoulu, je soupire de bonheur.