Histoires de sexe

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Bitonio dans la cité des merveilles
Histoire gay publiée le 30/04/2018
Je venais de m'installer dans un deux pièces d'une cité de banlieue. on était samedi après-midi et je sortis avec mon beau survêt blanc pour faire quelques courses. En croisant un beau black sur une des entrées, celui-ci m'appela et dit en serrant son pantalon aux couilles. Elles sont pleines ,tu voudrais pas me les sucer? Quand je serais noir, je te sucerais, me ferais mettre et pourquoi pas ton esclave en laisse pendant que tu y est. J'ai eu à peine le temps de me retourner, que j'ai pris un énorme coup de poing au creux de l'estomac. Il y avait deux malabars que je n'avais pas vu arriver. Je crois que ce blanc bec t'as manqué de respect, ils m'amenèrent en me soulevant par les bras, vers leur caïd et celui-ci me colla un aller-retour retentissant. Descendez le moi en bas, foutez le moi à poil et corrigez le sans l'abîmer, j'arrive. Et en hélant un gamin qui passait, appelle tes copains, on va vous faire de démonstration de dressage de céfran malpoli. Je fus descendu rapidement et la j'ai pris des baffes, des coups de poings, des coups de pieds. Désape toi, on arrêtera de taper,quand t'auras fini. Je me déshabillais comme je pus, et avant que j'enlève mon slip, une quinzaine de gamins remplissait la cave suivi du caïd, devant mon hésitation à le retirer, je pris un coup de lattes dans les couilles qui me mit à genoux, et deux gamins sur un geste me l'arrachèrent. Regardez la petite bitte qu'il a, c'est honteux écarte bien les genoux que tout le monde voit bien. Je m'exposai ainsi à la risée. Je sais comment on va t'appeler désormais, Bitonio. Bon c'est pas tout ça, maintenant vient sucer mon dard, si tu ne sais pas bien, papa va t'apprendre. Comme je ne bougeais pas. Je pris dans le dos des coups de ceinturons. Dis toi bien qu'ils continuerons tant que tu ne m'auras pas sucé. Vaincu par la douleur, je le suçais sous les acclamations. Il m'attrapa par les oreilles pour me donner la bonne cadence. J'éssoufflais un peu et manquais parfois de cracher, car il était bien monté et mes mâchoires étaient ouvertes au maximum. Bien amenez moi mon tabouret de bar, pour baiser cette crevette, je ne veux pas me fatiguer, et ils sera prêt pour la suite. Je fus installé sur le ventre et maintenu par un ceinturon, deux gamins m'écartèrent les jambes, il cracha sur ma rondelle,mis son pouce, puis recracha et présenta sa verge à l'entrée, je craignais le pire,je ne suis pas trompé, son dard a eu du mal à passer mon anus. mais quand il est rentré,c'est pour m'empaler d'un coup, j'ai poussé alors un cri, car je me sentais comme déchiré en deux. Puis il m'a limé tranquillement au départ pour progressivement accélérer ensuite et effectuer des va et vient de plus en plus rapides. La douleur initiale s'est transformée en onde de plaisirs et je gémissais. Écoutez ce petit cochon, il y prend du plaisir. Il se vida ensuite en longues saccades dans mon cul. Il repassa devant moi et je dus lécher sa queue pleine de sperme. Il invita ses acolytes à en faire autant. Pendant que je subissais les assauts, il ramassa mes affaires dont il vida les poches et distribua mes vêtements à qui en voulait. J'avais environ quarante cinq euros dans mes poches. Il en donna vingt cinq à gamin pour qu'il ramène la liste notée pendant qu'il me regardait en train de sucer et sodomiser. Tant fait pas ton argent n'est pas perdu, les courses sont pour la suite de la punition de mon Bitonio. J'ai retenu ce que tu m'as dit, c'est vexant, donc tu va subir les idioties dont tu as parlé. Après avoir encaissé la charge de ses sbires, il invita quelques ados intéressés au moins à se faire sucer et devant l'engouement générale, je les ai aussi pris dans le fion. Comme cela à duré, un moment le garçon qui à fait les courses avait ramené ce qu'il fallait et avait participé à ma déchéance. Je fus remis debout. Il sorti du sac une pelote de grosse ficelle, attachez lui les poignets dans le dos aux avant-bras et faites plusieurs tours. On me sortit ainsi de la cave à l'entrée du palier, il donna les vingt euros restant à un gamin. Tu me l'emmènes au coiffeur, je veux qu'il reste au milieu de l'allée, qu'il marche lentement, ne prenez pas le raccourci, je veux qu'il longe le trajet devant les trois immeubles. Mon passage créa un attroupement,des rires, des moqueries, des claques aux fesses, les prises de photos et vidéos allaient bon train. Quand j'arrivais dans le salon de coiffure chez Mamoud, celui-ci me regarda en souriant, tiens c'est mon premier client nu. Le gamin lui remit les vingt euros et dit les vingt euros c'est pour ton dédommagement, et qu'a t'il demandé comme coupe? Pour lui comme il s'est moqué des noirs, une coupe d'esclave. Je vois, installe toi à genoux devant la vitrine jambes écartées, vous deux ramenez moi une poubelle à roulettes carré, je le finirais dehors. Il me tondit le crâne tranquillement,permettant à certains de me prendre en vidéo à travers la vitre. Je sortis, fus installé d'abord sur le dos ,les jambes tenus de chaque côté du container, le coiffeur vint avec un seau et une éponge savonneuse, il me conseilla de ne pas bouger, il me trempa, me rasa d'abord le torse et me rasa le pubis et les jambes. Je fus retourné, ce fus le dos, le cul et en écartant bien ma raie culière. Je fus redescendu et promené encore pour m'emmener au petit épicier du coin, ou je fus présenté. l'un des sbires du caïd, dis à l'épicier pendant un mois tu auras un aide de temps à autre. Celui-ci en riant. Je ne m'attendais pas à cette façon de se présenter, mais pourquoi pas? J'ai besoin de renfort, son nom? Slave Bitonio. Je vois à plus tard. Je ressortis et étant cette fois glabre, ils m'attachèrent les boules pour me promener en laisse, je fus emmené au terrain de basket,attaché par la bite au poteau, et pris une fessée au ceinturon bien sûr aux fesses, mais aussi sur les cuisses, dès que je bougeais de trop mes couilles souffraient. Détaché, je dus faire deux tours autours des ces trois barres d'immeubles, me présenter à quiconque voulait me voir de près, tourner sur moi-même. Puis je retournais dans la cave d'origine, avec une horde de suiveur. La visite du quartier t'a plu, j'espère. Au moins tu a fait connaissance avec tout le monde.Bon passons. tu m'a dit, si je me souviens bien que tu me sucerais,si t'était noir. Tu est blanc, donc on va remédier à ça de suite. Je dus bien écarter les jambes, et deux jeunes équipés chacun d'un gant de toilettes et d'un tube cirage noir m'enduire du sommet du crâne aux pieds. C'était l'hilarité générale. Mais ce n'était pas fini, tu risques d'enlever ton décor trop facilement sous la douche. T'as de la chance, ils vont maintenant de passer un cirage incolore à base de paraffine pour résister à l'eau. De plus tu vas briller petit veinard. L'hilarité est complète. Comme tout le monde est là, je me suis un peu renseigné sur toi, tu as des horaires de bureau, désormais pour ta punition pendant un mois, tu aideras l'épicier qui as une livraison les mardis et vendredi à décharger entre cinq heures et six heures. Le soir après vingt et une heures, tu sors en short court et tee-shirt noir, puisque c'est ta couleur préférée, sans sous-vêtements et tu te mets à dispo de tous ceux qui veulent de ta bouche ou ton cul. Pour les quatre weekends qui viennent, tu viendras chez moi faire le larbin ménager, nu bien sûr. Je fus ressorti, il me mit mes clés d'appartement dans mes mains toujours attachés, me renvoya me promener. Je dus faire un aller retour le long des ces trois immeubles,faire deux fois le tour du mien, puis autorisé à remonter chez moi par les escaliers avec toujours ces gamins hilares. Ouvrir ma porte d'appartement me prit dix bonnes minutes,me détacher quarante-cinq, me nettoyer complètement me prit quatre douches à une heure d'intervalle. Les jours suivant avec ma tenue, j'étais devenu la petasse de quartier, non seulement j'y ai pris goût, mais je traînais un peu plus longtemps pour être sûr de me prendre les plus belles bites pour mon cul affamé.