Histoires de sexe

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Le beau rebeu de l'aire d'autoroute
Histoire gay publiée le 26/03/2018
Cela fait deux bonnes heures que je roule sur l'autoroute. Il fait trop chaud dehors, dans ma tête, dans mon slip... je pense que ce soir, une fois rentrer je me connecterai direct a un site de rencontre pour trouver un plan. J'ai envie de pisser depuis un petit moment déjà. Je décide de m'arrêter sur la prochaine aire d'autoroute. Cinq minutes plus tard, je quitte l'autoroute et m'engage sur une aire indiquant "toilettes, pique-nique". Je me gare et regarde autour de moi, l'aire est quasi déserte. Un couple goûte sous un arbre au loin, un mec téléphone près des toilettes. Je sors de ma voiture et me dirige vers le chalet qui abrite les toilettes, passe devant le mec au téléphone, un beau rebeu, la trentaine, grand et mince, bien dessiné sous son débardeur blanc. Sous son short militaire se dessine une bite qui me donnerais bien envie. Il ne me regarde pas. Je passe devant lui et m'engouffre dans les WC publics. Devant l'urinoir je pisse à n'en plus pouvoir. Ca fait un bien fou. J'entend le rebeu discuter au téléphone non loin de la porte. Une fois soulagé, je me passe le visage sous l'eau du robinet pour me rafraichir et ressors du chalet. Au moment de sortir, je sors mon portable de ma poche fais style de passer un coup de fil. Je m'éloigne un peu en espérant pouvoir profiter quelques minutes encore de la vue sur ce mec. Il est vraiment canon. Mais au bout de quelques secondes a peine, il me jette un regard, met fin à sa conversation et rentre dans le chalet. L'envie est trop forte. La curiosité. J'ai envie de tenter de voir sa queue. Alors, après quelques secondes d'hésitation, je décide de retourner dans le chalet. En entrant, je marque un coup d'arrêt d'à peine une seconde. Il est là, devant un urinoir. Je fais style de l'ignorer et me place devant l'urinoir à côté de lui. Je dégrafe mon short et fais style d'uriner. Mais évidemment, rien ne sort! J'essaye de me inviter pour ne pas me faire caler mais rien n'y fait. Cela dit, ne n'entend rien couler non plus de son côté. Je tente alors de jeter un petit coup d'?il par dessus la petite paroi qui nous séparer et là, le choc: sa queue est en érection et il se caresse doucement devant son chiotte, du bout des doigt. Il se caresse du gland à la base. Je ne sais pas comment réagir. Je reporte le regard sur mon chiotte et reste ainsi quelques instants. Alors que je décide de reboutonner mon short, je senti sa main se poser sur ma fesse gauche. Je tourne la tête vers lui et de son regard et me montre son sexe. Sa main sur ma fesse se fait plus insistante et j'ose alors tendre la mienne vers sa bite. De sa main, il m'incite à le branler. ce que je fais! Lentement comme il le faisait lui même. Il chuchote "ouais vas-y, c'est bon ça!" je le branle quelques instant, sa bite est dure comme du bois. Soudain, il remonte son fut, et me fais signe de le suivre. Il entre dans une cabine de toilette, j'entre derrière lui, il referme la porte à clé et me dit "suce-moi beau gosse, fais toi plaisir". Je me met à genoux devant lui et pose mes lèvre sur son gland chaud et dure. J'enfile sa bite dans ma bouche et le pompe à pleine gorge. Il gémit. Il me passe la main dans les cheveux et me plaque le front contre son pubis. Il me fait saliver de ouf. Je manque de m'éssouffler avec ses 20 bons cm. Au bout de quelques minutes, il me dit " j'ai envie de ton cul de ptite salope". Je répond d'un simple "huuummmmm" gourmand. il sourit. "T'as envie hein? t'as envie que je te la baise ta chatte? t'as envie que je t'enfile comme une bonne petasse?" je répond oui et lui lance un regard de salope comme je sais les faire. "viens voir ton cul ma belle!" je retire alors entièrement mon short et mon boxer me retourne pour lui présenter mes fesses rebondies qu'il s'empresse d'écarter. Je me cambre bien en prenant appui sur le wc. Il crache sur mon trou à plusieurs reprises et m'insère un doigt, puis deux, puis trois. "Putain, ça rentre comme dans du beurre là-dedans" souffle-t-il. "ça me chauffe bien tout ça, c'est à cause de toi si j'ai une trique comme ça!" me dit-il. "Oui je sais" je lui répond. "Tu sais que tu vas le payer, ça va te couter cher ça ma belle" me souffle t'il dans le cou avant de me prendre le visage d'une main ferme et de me rouler un putain de pelle bien chaud et bien baveuse. Alors qu'il m'embrasse, je le sens fouiller ses poches de short. Il en sort une capote, déchire l'emballage avec ses dents. Alors qu'il déroule le préservatif sur sa queue, il m'ordonne de bien me cambrer et de lui donner mon cul sans retenue. Il crache une nouvelle fois sur mon trou, pose ses mains sur mes hanches et appose son gland sur mon trou. Il met une main sur ma bouche au moment ou il commence à m'enfiler. Je sent son gland rentrer en faisant un peu de encouraging mais une fois rentrer, tout le reste de sa bite peu rentrer direct sans effort. " putain comme t'es bien ouvert et humide, ça rentre tout seul" et il commence ses va et viens, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je gémi à chaque aller retour. Lui souffle, gémi, des fois s'approche pour m'embrasser à pleine bouche, me cracher au visage. Il me pénètre à fond et prend bien son pied. A un moment, en pleine action, la poignée de la porte est actionnée. Il me plaque la main sur la bouche et s'arrête en pleine action sans débander pour autant. De l'autre côté de la porte, on entend des pas s'éloigner puis s'arrêter, et un mec pisser dans un urinoir. Puis le robinet, à nouveau des pas en direction de la sortie, puis plus rien. Mon rebeu défait son étreinte sur ma bouche et me dit "on en était ou? ah oui, j'allais te féconder" et il repris ses mouvements. "tu veux que je te gicle ou?" me demande-t-il. "Ou tu veux" je lui répond. "Ok, prépare ta bouche" Il me lime de plus en plus fort et de plus en plus vite à nouveau jusqu'au moment ou je le senti se crisper et sa queue se durcir encore plus en moi. Il se retira et, oté la capote d'un coup sec, me retourna et m'enfila sa queue dans la bouche. Deux trois mouvement de plus et il se mis à se vider plusieurs long jet épais de sperme chaud. J'en avais plein la bouche. "Avale ma ptite chienne, avale tout ce que je te donne" me dit-il. "C'est bon ça hein? du bon jus de mec" j'avalai tout en plusieurs fois". Puis je me relevai et il me plaqua contre le mur pour m'embrasser. "C'était bon? t'as kiffé?" je dis "oui" . Il remonta son short. Moi aussi. Il sortit de la cabine, moi aussi et sans un mot, nous nous sommes quittés chacun en direction de sa voiture.