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Instinct primitif
Histoire gay publiée le 25/03/2018
Bonjour à tous, c'est encore Julien, je vous ai raconté la dernière fois ma rencontre avec Mehdi, souvenez-vous, le chauffeur Uber de 30 ans, 1m90, 85 kg, bonne bite bien grasse de 19 cm (comme une canette de Coca). Notre relation a duré 3 ans alors vous pensez bien que j'en ai encore un paquet à vous raconter? Comme cette deuxième rencontre.
Depuis notre première rencontre qui s?était finie avec mon cul explosé, tant par sa bite que par ses coups de ceintures, j'avais tenté vainement de lui envoyer deux textos. Sans réponse. Venant d'un « hétéro » selon son profil sans photo sur internet ça ne m?étonnait pas de ne pas avoir de réponse.
Je n'avais rencontré personne depuis, n?étant pas un fan de plan et de toute façon j'avais beaucoup trop de travail à la banque.
Un soir, au moment où je rentrais chez moi dans mon immeuble donnant sur le canal Saint Martin, un mec se colle à moi pour pousser la porte cochère. Je n'ai pas le temps de me retourner qu'il me plaque contre les boites aux lettres : « t'en a mis du temps à rentrer, on monte chez toi bébé »
C?était Mehdi, toujours aussi beau. Mon c'ur n'a fait qu'un bon ! Si je m'attendais à le revoir. Barbe et cheveux ultra taillé, jean noir, doudoune noire avec de la fourure, et BW noire.
On monte chez moi et je vois un air d?étonnement sur son visage. Quelques secondes se passent, je ne comprends pas, il n'a plus envie ?
Il enlève sa doudoune avec sa vraie fourrure, me la donne pour que je l'accroche puis se met à parler : « tu vas me ranger ce bordel tout de suite »
Stupéfait je me m'exécute, c?était pas nikel nikel mais pas franchement le bordel non plus.
« il est où le string que je t'ai laissé la dernière fois ? Tu l'as toujours ? Alors tu vas le mettre, et tu vas ranger ce bordel ».
Je vais enfiler le string qu'il m'avait laissé la dernière fois, un string de meuf en dentelle noire, qui m'avait beaucoup surpris, et qu'il m'avait demandé de garder laissant entendre une nouvelle rencontre.
Revenant de la chambre, en string en dentelle comme demandé, je le trouve assis sur le canapé, ses BW sur la table basse. Il avait mis l?équipe TV, sur la 21, je ne savais même pas que j'avais cette chaine.
Je commence à ranger, uniquement en string, de meuf en plus, avec un rebeu qui ne prêtait aucune attention à moi, mais qu'est ce qui se passait ?
Puis en passant à coté de lui il bondi du canapé et m'attrape par les cheveux. Il me crache à la figure et me dit à l'oreille : « et mes baskets tu les laves pas ? »
Toujours en m'agrippant les cheveux il me baisse jusqu?à ces skets. Il était resté debout, et avait un pied sur ma table basse. Je commençais à m'exécuter. Putain que c'est dégueu de lécher des skets mais qu'est-ce que j'ai aimé. J'avais l'impression d?être à ma place, au pied de mon maitre, de mon male. Ce mec puait la testostérone. Je me suis naturellement mis en position de cambrement. Je ne m'en suis pas rendu compte, je l'ai vu après car comme lors de notre première rencontre, Mehdi sorti son iphone de sa poche et me pris en photo.
« C'est bien Hbiba, continue, montre-moi que t'es une bonne toi »
Ma bite, bien dure, dépassait de mon string. Il approcha le pied de mon entrejambe et me dit : « range ça ! »
Il déboutonna sa chemise noire, baissa son fut laissant apparaitre ma récompense. Il ne portait pas de sous vêtement. Magnifique engin de 19 x 5, parfaitement taillée, circoncise pouawwwwwww
Quelle délicieuse petite odeur de transpi mélangée à une odeur de pisse.
Le rêve de tout passif soumis des beaux quartiers de la capitale.
Ma mâchoire ne s?était jamais ouverte aussi grande, cette bite était faite pour moi. « doucement, c'est bien, ouais vas y, comme ça ». Il était debout devant moi, ses deux mains crispées sur ma tête, faisant ces va et vient, me faisant baver sur le parquet.
Suivi cette belle pipe baveuse, vraiment très baveuse comme jamais, mes larmes ruisselaient.
L'iphone qu'il avait mis sur la table basse se mis à vibrer : une photo d'une beurette, plutôt vulgaire avec un rouge à lèvre rose, et marqué « bébé ».
J'attendais rien de ce mec, on ne s?était vu que 2 fois, mais j'espérais un peu être le seul (#pauvreconne)
Le téléphone vibra de nouveau ce qui l?énerva :
« putain elle me casse les couilles celle là ! Et toi qu'est-ce que tu regardes ? »
Il me repoussa rudement et mis son téléphone en mode avion.
Il se penche sur moi, me serre la bouche entre sa main, me crache au visage : « Donne moi ta chatte toi maintenant ! »
Bon maintenant il faut assurer, car sa bite est dure à encaisser. Enfin vue comme j?étais excitée il ne devrait pas y avoir trop de problème.
Il enlève son fut en totalité, remet ses BW noires. Il enfile sa capote XL, je lui mets du gel « vas y c'est bon là ! » il m'empoigne par la taille, me retourne brusquement, et m'empale d'un coup sur sa bite, là, comme ça, debout au milieu du salon. Je n'avais plus face à moi un homme, j'avais face à moi un animal, réduit à son instinc primitif.
Putain quelle douleur, on a beau être excitée comme une chienne on n'est jamais vraiment préparé à se prendre 19 cm bien épaisse dans le cul d'un coup. Je me courbe.
« vas y fait pas ta tapette t'aime ça de toute façon »
Je résiste comme je peux pour encaisser ce monstre, il a les mains tellement cramponnées à mes hanches que je ne pourrai jamais m'enfuir de toute façon, je me sens juste un trou, j'ai l'impression de n?être qu'un objet. Puis il commence ces vas et vient, je me concentre pour lui donner du plaisir, je veux lui donner envie de revenir, mon cul encaisse ses fessées, voulant me toucher je me rappelle que je porte toujours mon string, et également qu'il n'avait pas apprécié la première fois que je me tripote pendant qu'il m'enculait. Je m'abstiens donc, même si j'en ai très envie.
Il m'insulte, en arabe bien entendu, la voisine touche contre le mur, manifestement gêné de tout ce bordel (si elle savait que ça allait encore et encore continuer à l'avenir?).
Sans comprendre Mehdi se retire de mon cul, arrache la capote sur sa bite, me prend par les cheveux pour me mettre à genoux « ouvre ta bouche putain !!!! » hurle-t-il. Je m'exécute juste a temps pour recevoir mon dû.
Le calme après la tempête, plus un bruit dans l'appartement, ni son râle, ni ses insultes, ni le bruit du parquet, ni le bruit de ses cuisses contre mon cul.
Je suis à terre face à lui : qu'il est beau. L'homme de mes rêves,
« vas-y donne moi ton iphone toi »
Heu'pour quoi faire ?
« Vas y donne je te dis ! Tape ton code ! »
Apeuré je m'exécute néanmoins, je le vois chercher dans mes nombreuses applis. « Ventes privées, internet, se loger, deliverroo, CMG, ha voilà, Internet ! Je veux plus que tu traines là-dessus tu piges ? Dit-il en supprimant l'appli. Les mecs qui te contacts en dehors de Internet tu réponds pas non plus ok ??
Venant d'un mec qui ne devait même pas se souvenir de mon prénom je trouvais ça un peu fort. Je lui doit rien à ce mec après tout.
Et l'autre conne avec son rouge à lèvre Barbie qui t'appelle on en parle hein ?
Il se rhabille, je reste à genoux au sol, il me donne deux petites tapes sur la joue : t'as intérêt à m?écouter Julien !
Quel salaud ! J'ai toujours voulu d'un mec comme Mehdi !