Histoires de sexe

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Rebeu 35 ans en doudoune Moncler
Histoire gay publiée le 07/01/2018
Un soir en rentrant des cours je croise un mec plutôt beau gosse, rebeu d'environ 35 ans qui portait une doudoune Moncler. Etant fétichiste des doudounes et particulièrement attiré par les rebeux, je prends mon courage à deux mains et je vais lui parler : "Bonsoir, excusez moi de vous déranger mais c'est pour vous dire que j'aime beaucoup votre doudoune. -Ah... et bien merci beaucoup, me répondit-il un peu étonné. -Je vois que c'est une Moncler, vous l'avez payée cher? -Non c'est une fausse. Tu veux la même? Il n'attend pas ma réponse il me dit, suis-moi!" Autant excité par ce beau mâle que par l'idée d'avoir ma doudoune Moncler, je le suis sans réfléchir. On arrive au dernier étage d'un immeuble après un court trajet à pieds bien silencieux. Je découvre une sorte d'entrepôt de contrebande où sont stockés tout plein de vêtements de marque. Il ouvre un carton, avec un couteau sorti de sa poche, à l'intérieur duquel se trouvent plein de doudounes Moncler. Il en prend une qui pourrait être à ma taille, enlève la protection en plastique et me la fait essayer. "200?, me lança t-il d'un coup. -Euh... je ne les ai pas là, désolé. -T'es pédé? -Pardon? je ne comprenais pas le rapport entre ce qui s'était passé avant et le fait que je sois gay mais je n'allais pas tarder à le découvrir. -T'es pédé? il avait répété sa question avec la même intonation de voix. -Je suis gay oui, lui rétorquais-je intimidé. -File moi ton numéro! Je lui donne mon numéro sans trop me poser de questions. Si je t'appelle tu te ramènes ici direct et tu deviens ma petasse. Fous toi à poil et tu te mets sur les genoux maintenant! -Oui maître." J'obéis aussitôt : je retirai mes vêtements et me mis à genoux tandis qu'il se touchait le paquet sur son survet. Sans m'y attendre je reçois sur le visage la salive chaude du rebeu crachée avec tout le mépris qu'il avait pour un babtou comme moi. Il me prend le derrière de la tête avec sa grosse main et me colle le visage contre sa bite. Je reçois quelques gifles de récompense. Il baisse son survet laissant apparaître sa bite déjà grosse alors qu'il ne bandait pas complètement. "Je vais te pisser dans la bouche grosse pédale. Tu avales tout sans broncher et après tu me remercies." Sagement, j'exécute les ordres. Le gros gland du rebeu posé sur ma lèvre inférieure se retrouve enfermé par ma lèvre supérieure afin que je puisse avaler chaque goutte du breuvage oriental qui m'est donné à avaler. Le liquide arrivé en grande quantité me réchauffe davantage le corps. Le gland se retire et j'avale la dernière gorgée qui s'ensuit du soupir de soif étanchée que je fais en ouvrant la bouche et en tirant la langue pour montrer au supérieur que je me suis délecté de sa limonade. Je le remercie croyant que s'en était fini pour aujourd'hui. Il me crache dans la bouche et me demande de le suivre à quatre pattes vers un canapé sur lequel il s'assoit toujours vêtu de sa belle doudoune noire. Je comprends que je dois le sucer. Je commence doucement sur le gland et descend petit à petit vers ses couilles. C'est alors qu'il me prend la tête à demain et m'enfonce sa bite droit dans la gorge avec rudesse. Il fait des va-et-viens rapides et forts tandis que je prends le droit de caresser sa doudoune. J'entends sa voix grave me dire des "C'est ça!", "Ouais c'est bon ça" ou encore "Suce moi bien sale truie!". Je m'éssoufflais sur sa queue avec le plaisir de me sentir à ma place. A un moment il se lève et prend son téléphone pendant que je le suce il... (A suivre)