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Beau rebeu gay passif
Histoire gay publiée le 03/08/2017
Les rebeus, on les voit souvent comme des bons actifs, mais en passifs ils peuvent être bien bandants aussi. L'autre midi, je traîne tranquille sur une appli de drague, et y'en a un qui vient m'aborder, assez cash : « salut, envie d'un cul ? » Je mate vite fait ses photos, petite gueule mignonne de mec de 22 ans, corps de crevette couleur caramel légèrement dessiné, sympa quoi. Je fais le blasé et je demande à voir son cul, il m'envoie une photo, un bon petit cul tout rond, rebondi. Ouais, ça m'intéresse. On échange vite fait, voir ce qu'il aime, ce qu'il veut : « Ce que tu veux. Je suis passif. M'adapte ». Je lui réponds de se ramener. Une demi-heure après, ça sonne à l'interphone. Deux minutes après, il est devant la porte. J'ai le temps, je bite pas, je lui propose à avaler, on discute un peu. Il a un regard lubrique et gêné, il a envie, je le fais attendre exprès, ça me fait marrer de me faire désirer comme ça. Et au milieu de la conversation, sans prévenir, je balance « t'as envie de bouffer ma grosse queue ? » Il est surpris, il répond pas. Je répète, « alors, t'as envie ? Fous-toi à genou et bouffe. » Il se fait pas prier. J'ai déjà une demi-molle et il va vite la faire bien, bien grossir. Il est doué. Il gobe entièrement mon 19 par 6. Il est doué, je prends mon pied. Je lui retire ma queue pour le bifler un peu, il ouvre la bouche, il réclame. Je lui ordonne : « Désape-toi. » Et il s'exécute. Je vais pouvoir lui préparer un peu le cul. J'ai à peine approché son trou qu'il a déjà lâché un petit gémissement. Je le prépare un tout petit peu et il me lâche déjà « baise-moi, steuplé, baise-moi. » Faut pas me le dire deux fois. J'attrape capote, gel, je me place derrière lui, et je pousse. Il a l'air d'avoir du mal. Je suis pas une rude, j'y vais pas à fond, mais je reste ferme : il a voulu que je le baise, je vais le baiser. Au bout de quelques secondes, je commence de légers va-et-vient et très vite, je sens son trou se dilater pour m'accueillir et j'entends des petits gémissements. Je lui demande : « T'aimes ça ? ? Oui oui, » répond-il d'un air détaché. Genre « ouais, m'en fous ». Alors je me suis mis à le démonter. Trente secondes de pillonage en mode marteau piqueur, à fond, sans arrêt, il est resté crispé. J'ai calmé le jeu, qu'on reprenne notre souffle, mais sans m'arrêter. Je l'attrape par les cheveux et je reprends une baise profonde, là ça gémit bien. « Oui, encore, encore, ENCORE ! » C'est qu'il réclame ! Je sors pour regarder, je le retourne pour l'allonger, je vois son trou hyper ouvert et je rentre d'un coup sec jusqu?à la garde (vu comment il était ouvert, c?était facile). Il était très demandeur, « baise-moi à fond, explose-moi ! » etc. Il a fini par se branler et juter avec pas mal de gémissements, bon ok, je me retire, et il me dit « vient me juter à la gueule ». J'approche, il gobe ma queue (même après avoir juté il semblait encore bouillant), je lui ai chopé la tête pour lui baiser la bouche, faire des bons va-et-vient, j'ai fini par me retirer et par lui lâcher cinq gros jets bien blanc (dont un a fini dans son ?il gauche, fermé). Quelle bonne petite salope !