Histoires de sexe

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Voisin rebeu hétéro
Histoire gay publiée le 18/07/2017
Un voisin rebeu Cette histoire s'est passée en janvier-février derniers. Dans mon quartier, chaque jour en partant au taf je voyais un rebeu, à peine la soixantaine, et ses deux progénitures attendant l'arrêt de bus scolaire. Le gars bien bati, 1m80, barbe grisonnante de quelques jours, assez mince et bronzé, toujours en jean et doudounne noir. Je regardais toujours dans le retro car de dos il état pas mal. Un apres-midi, sortant mon chien, je le vois en face de moi, prêt à récupérer ses progénitures à l'arrêt de bus. On se salue, commence à caresser le chien et j'entame la conversation, il se présente et je lui dis que je le croise chaque matin. Là il commence à entrer dans les détails me disant que son boulot surtout le soir l'de avec ces horaires de bus quand il a la garde. Je sais pas ce qui m'est passé par la tête mais je lui ai proposé de récupérer chaque soir ses progénitures et de les raccompagner chez lui, en attendant qu'il rentre du boulot. Je rentre et me demande pourquoi j'ai proposé cette connerie mais les choses se font. Au bout d'une semaine, un jeudi soir après son retour, alors que les progénitures 5 et 7ans faisaient leurs devoirs dans leur chambre, avant de partir il me propose à avaler pour faire connaissance. Il m'avoue qu'il a été marié, a eu deux progénitures maintenant 18 et 23ans qui vivaient à 50 kms d'ici et qu'il a été veuf, puis qu'il s'est remarié a eu les deux autres progénitures mais que depuis un an il s'est séparé de sa deuxième femme. Il me demande ma situation, je lui dis que je me suis séparé de mon copain en septembre dernier et lui avoue spontanément que je suis bi. Il est resté un peu choqué, il s'attendait pas que je sois franc mais ça lui a pas posé de problemes et m'a dit qu'il s'en serait pas douté. Une semaine passe, il me réinvite à avaler un samedi fin d'apres-midi, les progénitures étaient avec son ex, je ne le savais pas. On s'assoit, me sert et commence peu à peu à se rapprocher. D'un coup il me sort : j'avais remarqué que tu me regardais quand t'étais en voiture. J'essaie d'esquiver le truc en voulant dire quelque chose, et il m'interrompt me disant qu'il avait réfléchi et qu'il aimerait tenter un truc avec un gars. J'ai compris de suite qu'il était en manque et qu'il voulait mon trou. J'ai dit pourquoi pas mais vis à vis des progénitures ? Il répond on s'en fout ils ne sauront rien... La de sa main il m'attrape le visage et commence à m'embrasser vigoureusement, c'était presque aggressif. Je me suis laissais faire, puis a commencé à mettre sa main sur ma tête à à l'approcher de son paquet, il voulait que je le suce. Je me suis mis à genoux, je lui ai tiré son jogging, il n'était pas en sous-vetement mais avait une demi-molle 12-13cms assez appétissante. Il m'a dit régale-toi, j'ai les boules bien pleines, j'ai commencé par les lecher, il avait des poils partout, j'ai ensuite biberonné (20cms), c'était tellement gros que j'ai pas pu tout mettre en bouche, même s'il forçait pour. Nourredine, pour un gars de 59ans, c'est comme si j'en avais un qui avait la trentaine comme moi à m'occuper. Il gémissait, m'arrétait pour m'embrasser et me cracher dans la bouche et me faisait reprendre la pompe. Au bout de 15min, il s'est vidé dans ma bouche il voulait que j'avale ses 2 gros jets épais, je lui ai nettoyé le gland et m'a réembrassé. Il était affalé sur le canapé et n'en pouvait plus, il était à sec. Il se lève, me dit que c'était mieux que sa femme (compliment) et que il voudrait aller plus loin. 2-3 jours passent il m'appelle c'était mercredi soir, il n'avait pas la garde. Je suis rentré, il m'a attrapé la main et m'a conduit jusque dans sa chambre, j'ai pu rien dire. Il m'a fait asseoir sur son lit, a relevé sa djellaba grise et m'a collé la tête à son paquet déjà bandant, il en pouvait plus. Au bout de 10 min, il m'a mis en chandelle et s'est occupé de ma rondelle : langue, doigt, crachats. Il m'a fait mettre en levrette, il ne voulait pas de capote, il a mis son gland et l'a rentré et est resté fixe. Il me dit tu vas voir comme je m'occupe du cul, deux minutes passent, il m'a attrapé pas les hanches et d'un coup il me rentre le gros reste à sec. J'ai gueulé, il est resté fixe le temps que mon cul s'adapte et ensuite à commencer le bourrinage, 10 min apres il se retiré, vidé. J'étais sur le ventre, creuvé et la rondelle dégoulinante. Il était sur le dos, respiré fortement, il était épuisé. Ensuite il me dit on s'entend bien, si tu veux les soirs et weekends quand je suis pas de garde tu viens vivre chez moi. J'ai trouvé que ça allait vite mais j'ai accepté. Il se lève va me chercher un paquet et me dit c'est pour toi. J'ouvre, je vois une djellaba blanche, il me sort quand tu seras ici tu l'as porteras comme moi et tu resteras sans rien en dessous. J'ai dit oui, il y tenait tellement, j'ai quand même demander pourquoi et m'a répondu c'est plus pratique pour baiser et m'exigea de m'épiler des pieds au cul entiérement. Il avait trouver son trou, désormais tout lisse comme celui d'une femme, il disait, et était devenu bi. Ça a duré 1mois et demi, quand j'y étais le weekend en journée, il me prenait où et quand il voulait, je pouvais rien dire, il avait juste à lever la djellaba sur le canapé, sur la table, un matin j'étais sur la terrasse accroupi à ramasser du feuillage j'y avais droit. Il baisait comme un dieu, donc je pouvais pas refuser. Un apres-midi, j'étais en train de débarasser la table, il a eu envie, il m'a planqué la tete sur la table, je lui ai répondu, pas la on s'est jamais si quelqu'un rentre. Tout en levant la djellaba, un peu énervé, il me disait j'ai pas attendu 60ans pour me mettre avec un gay et pas profiter de son trou serré, je suis chez moi. Je savais que j'allais prendre, il m'a préparé le trou, m'a rabattu une jambe sur la table, me disant que comme ça rentrerait mieux et m'a enfilé. Il y a avait que le soir dans son lit qu'il voulait me prendre comme une femelle, il disait. Çà a été une période de grande ouverture et de mouillage intense.