Histoires de sexe

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T'es qu'une bite
Histoire gay publiée le 03/07/2017
Je me sentais seul. J'avais une envie irrépressible de me faire prendre. Peu importe par qui. Peu importe où. J'en avais besoin, il le fallait. Le plus vite possible. Je ne pouvais plus attendre. Il fallait que je baise, ma survie en dépendait. Alors que je marchais dans la rue, j'ai pris le premier qui venait. Je me moquais bien de savoir s'il était gay ou non. Mes années d'errance sexuelles m'avaient bien appris quelque chose : Quand il s'agit de se vider les couilles discrètement, ils sont toujours partants. J'avais les atouts pour convaincre. Jeunesse, Beauté, Corps parfait. Ça n'a pas été trop compliqué. Nous nous sommes réfugiés dans une ruelle déserte, peu scrupuleux de trouver l'endroit idéal pour nos ébats. Je ne veux pas prendre le temps. Je le pousse contre un mur, l'embrasse et me baisse vers son pantalon. Je le baisse directement, ainsi que son caleçon. Je saisis le magniifque membre qui s'érige face à moi et commence à le secouer, avant de me ruer dessus pour le lécher et le mettre en bouche. Je me nourris de toutes ces effluves si douces à mes narines. Je le sens, je le lèche, je le suce, je le mords. Il y prend du plaisir. Tant mieux pour lui. Ce n'est pas mon problème. Je descends vers ses couilles, joue avec ses poils. Il sent le mâle en rut, c'est tellement bon. Je n'en peux plus. Je gobe ses boules. Je n'en ai jamais assez. Il me faut plus. Je lâche ses couilles pour retourner vers son manche. Il est plus dur que jamais. Le mec gémit. J'engloutis son membre et me délecte du précum qui en sort. Si sucré, si apétissant. Il faut qu'il me gicle dans la bouche. Je suce tout ce que je peux, comme au dernier jour, je ne prends pas la peine de savoir si ça lui plaît, si je suis trop rapide ou pas. Mais je ne veux pas que ça se termine tout de suite, j'ai besoin que ça dure plus longtemps, il faut que ça me permette au moins de tenir deux jour. Alors je me retire et joue avec sa bite sur mes joues. Je le décalotte au maximum pour me permettre de lécher la moindre goutte qui en sort. Je me lève et lui présente mon cul. Au début, il commence à mettre un doigt. Je l'arrête net. Je n'ai pas envie d'un homme qui me fasse l'amour, j'ai besoin d'un mâle qui me baise, qui me défonce, sauvagement, comme un animal. Je veux qu'il me pénetre d'un coup, à sec, sans préparation. Alors qu'il commence à rentrer son gland, je trouve que ça va trop longtemps, et je recule mon cul, jusqu'à le coller à ses couilles. Je sens sa bite dans toute sa longueur dans mon cul. Mais ce n'est pas l'heure de se reposer. Je lui indique le rythme, en commençant les va-et-viens, et il est encouragé de m'enculer comme je le demande. C'est moi qui décide. Quand il est trop doux, je reprends la main et lui montre comment il faut faire. Il est endurant. C'est génial, je sais bien les choisir. Il commence à se lâcher un peu, à arrêter de faire saon prince charmant, il devient enfin la bête dont j'ai besoin. Il me fout à quatre pattes et commence à me baiser à mort. Des gens passent dans la rue perpendiculaire. Avec tous nos gémissements, ils regardent dans notre direction et nous apercoivent. Ils semblent choqués. Je m'en fouts, quand j'entends une vieille qui commence à se plaindre des''pédales'', je lui fais un doigt, et fais exprès de gémir de plus en plus fort. Je veux qu'il me prenne. J'en ai besoin. Il me ramone, de fond en combles. Quand il sent qu'il va bientôt jouir, il sort et approche sa bite de ma bouche. C'est parfait, il a compris ce que je voulais. Je gobe sa bite, et le suce. Au bout de quelques allers-retours, je me prends tout son jus en fond de gorge. C'est tellement bon. Je me moque de savoir qui il est, je me moque de savoir s'il a aimé. Il n'est rien. Je ne le connais pas, ni lui ni son prénom, je ne lui ai pas encore parlé une seule fois. Alors que je me rhabille, il m'interpelle. ? Attends, c'était génial. Tu me passes ton num ? ? Casse-toi ! ? Mais? ? Casse-toi je t'ai dit ! T'es qu'une bite, tu servais qu'à me faire plaisir. Tu étais consentant, ça t'a plu aussi. J'en ai rien à foutre de toi. Dégage ! Je vois des larmes au fond de ses yeux mais je m'en moque, je m'en vais. En attendant la prochaine fois, où le désir sera redevenu si ardent qu'il me faudra chasser de nouveau pour me trouver un PD qui sache m'enculer correctement.