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Moule à bites de rebeu 2
Histoire gay publiée le 03/07/2017
Salut à tous, voici la deuxième partie de mon récit Moule à bites de rebeu : Je ne sais pas combien de temps ça fait que je suis ici. Je suis vraiment mal en point. J'ai envie de cracher, je fais une crise d'hypoglycémie et je souffre de déshydratation. S'ils ne me laissent pas avaler, je ne vais pas faire long feu. Je n'arrive même pas à pleurer. Les larmes ne coulent plus. Je suis nu, attaché, rasé, humilié. Je veux mourir. Je me suis résigné, les flics ne viendront pas. La porte s'ouvre. Un homme entre. Je n'arrive pas à discerner quoi que ce soit. Je n'en ai même pas la puissance. Il s'approche. ? T'as soif ? ? O? Oui. Parviens-je à murmurer. Il me détache, je m'écrase au sol. Ma tête me fait mal, mais je n'ai pas la puissance de me relever. Il me met à genoux, et sort sa bite. ? Bois mon sperme, il est plein de protéines ! Dit-il en se marrant. Je n'arrive même pas à ouvrir la bouche pour avaler ce pénis encore mou. Il perd patience et vient m'enfoncer son membre dans ma gorge. Il initie les mouvements de va-et-viens. J'ai mal de partout. Je replie mes lèvres sur mes dents pour ne pas lui faire mal, mais je ne fais rien d'autre. Je suis son objet, incapable de faire le moindre mouvement. Sa bite devient de plus en plus dure, et il me fait des gorges profondes. Il n'est pas très endurant, et il finit par venir dans ma bouche. Il me puissance à avaler tout le sperme. Je ne suis pas sûr que ça allonge beaucoup mon espérance de vie. Je m'effondre dès qu'il me lâche. J'espère que cette baise de piètre qualité avec un partenaire aussi peu excitant ne sera pas la dernière de ma vie? Il ne juge pas utile de me rattacher. De toute façon je suis incapable de tenir sur mes jambes, alors penser à m'échapper? Je reste étendu sur le sol, attendant la libération. Mais elle tarde à venir. Je finis par avoir la puissance d'ironiser en me demandant ce qui arrivera le plus tôt : La police ou la mort. Dans un cas comme de l'autre, ce sera salvateur. La porte s'ouvre à nouveau. Je ne regarde pas qui c'est. Je ne ferai même pas l'effort d'ouvrir la bouche ou de tenir à genoux. Ils devront me baiser dans cette position. Mais l'homme qui s'approche de moi n'a aucune intention de me baiser. Il me rejoint doucement, s'agenouille auprès de moi, et tente de me relever. Il se met en tailleur et pose ma tête contre lui. ? Il faut que tu manges. Je n'arrive pas à lui répondre. À côté de lui, je vois un plateau avec de la nourriture et un pichet d'eau. Il me les tend pour que je me rassasie et m'abreuve. ? Dans quel état t'ont-ils mis ? Dès que j'ai su qu'il y en avait un nouveau, j'ai demandé à Lahcen de venir t'apporter à manger. Il a hésité, mais il a finalement plié quand il a appris que tu n'avais même pas été capable de faire une pipe convenable à Mehdi. Je mange en silence en l'écoutant parler. C'est un jeune homme comme moi. Il ne doit pas dépasser les dix-neuf ans. Il a des cheveux blonds, des yeux verts-noisette un air angélique. Mais quelque chose me fait tiquer. En plus de cette tunique hyper moulante et quasi transparente qu'on l'oblige à porter, il a un collier autour du cou. Mais pas n'importe quel collier. Celui-là est électrique, pour donner des décharges. ? Toi aussi tu es leur prisonnier ? Parvins-je à articuler quand j'ai enfin repris des encouragements. ? Oui, depuis deux ans. Mais Lahcen s'est montré gentil et protecteur envers moi. Je ne suis resté que deux jours dans la cave, et seulement quelques clients me sont passés dessus, après je suis passé à son service. Il est le seul à pouvoir me baiser, et je suis là pour le service. Ce collier, c'est pour me rappeler que je lui appartiens, et être sûr que je fais tout ce qu'il me demande. Comment t'es arrivé là ? ? Ils m'ont enlevé alors que je me rendais chez ma s'ur. ? Tiens, c'est étrange, ils ne l'ont jamais fait. C'est trop risqué. Ta famille risquerait d'appeler les flics. Tu les connaissais d'avant ? ? Non. Et toi ? Comment t'es arrivé là ? ? Mes parents m'ont mis à la porte dès qu'ils m'ont découvert au lit avec un homme. J'étais pommé. J'errais. Ils m'ont trouvé alors que je faisais le tapin pour me faire du fric. Ils m'ont proposé de me nourrir et de me loger. J'avais pas vraiment le choix. J'ai accepté. Avec eux, j'ai gagné en condition de vie. Je peux me doucher quand je veux, je ne couche pas avec n'importe qui, juste avec Lahcen. Mon regard a dû se faire un peu noir parce qu'il s'est repris. ? Excuse-moi. J'aurais pas dû te dire ça, mais tu sais, je ne pense pas que tu restes comme ça longtemps. Lahcen a l'air de bien t'aimer. Tu es un peu spécial. Dans pas longtemps, tu auras des meilleures conditions de vie. ? À condition que je sois pas mort de faim d'ici là. ? Je ferais en sorte que non. Il me sourit et se lève. ? Il faut que j'y ailles. ? Déjà ? ? Si tu veux que je revienne souvent, il ne faut pas qu'on passe des heurs ensemble à chaque fois, le maître ne verrait pas ça d'un bon ?il. À demain. ? À demain. Ce bel éphèbe me fait vraiment craquer. Il est mignon, et il me rappelle mon ex. Avant qu'il ne referme la porte je l'interpelle. ? Attends ! ? Qu'est-ce qu'il y a ? ? Comment tu t'appelles ? Il me fait un sourire. ? Ici, c'est''suceuse de zob''. Il s'en va. Je me retrouve à nouveau seul, dans le noir. Je me recroqueville. Je vais mieux. J'ai pu manger, et j'ai l'impression que j'ai trouvé un allié avec mon nouvel ami. Peut-être me permettra-t-il d'être promu plus rapidement. Quelques heures plus tard, je vois Lahcen entrer dans la cave. ? Salut moule à bite. Comment trouves-tu ton nouveau chez toi ? C'est spacieux ! Je ne juge pas utile de répondre à ce genre de pique. Erreur ! Je me prends une baffe magistrale. Lahcen s'approche lentement de mon oreille, et dans un souffle, me lance : ? Quand ton maître te parle tu lui réponds sale ! ? Oui maître. ? C'est bien, tu comprends vite. Je vois que Yanis et Adel ont fait du bon bouleau. T'es aussi doux qu'une petasse. Il ne s'embête pas, et me caresse de partout comme si j'étais une marchandise. ? Ils ne se sont pas plaint de toi, apparemment t'es une bonne petasse. C'est bon pour les affaires ça. Avant de te mettre sur le marché, il faut que je te teste, je suis sûr que tu comprends. Une dernière formalité avant que tu ne soit promu. Tu auras ta chambre rien qu'à toi ! ? Merci maître. ? À genoux ! Je m'exécute. Je sais que j'ai intérêt à faire tout ce qu'il me dit. Il enlève son t-shirt et me révèle sa magnifique musculature. Il prend soin de lui et c'est magnifique à voir. Il doit avoir une petite vingtaine d'années, mais il est tellement viril ! Une longue lignée de poil part de son nombril pour aller se cacher dans son caleçon. Je n'en peux plus d'attendre, et je me jette sur ce pantalon pour le faire tomber. J'enlève également son sous-vêtement, ce qui fait jaillir sa bite. Elle est magnifique. Suffisamment épaisse, assez longue, circoncise, totalement droite, et elle n'attend que ma bouche pour la satisfaire. J'approche ma langue de ce méat, et me met à le lécher, de la base jusqu'au gland, avant de saisir ses couilles et de lécher ses poils. Sa réaction ne se fait pas attendre, il lâche des rauques. J'adore l'odeur de mâle que dégagent ses couilles. J'approche ma bouche, et enfonce son braquemart en fond de gorge. Il gémit encore. Je commence alors les va-et-viens qui lui procurent un certain effet. Je continue ma pipe, sur cet objet de désir. Il saisit ma tête et vient m'imprimer le rythme de la fellation. J'adore ça, je suis sa chose, je lui appartiens. Je lui plaît. Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort. Quand il se retire, c'est un véritable déchirement pour moi. Il crée un manque dans ma bouche. Mais il veut profiter entièrement de moi. Il approche de mes fesses. Nous nous positionnons en levrette. Il est derrière moi, et il a tout contrôle sur mon corps. Je le sens écarter mes lobes pour cracher sur mon trou déjà humide. Sans plus de préparation, il enfonce sa bite d'un seul coup en moi. Sous le coup de la surprise, et de la douleur, je hurle. Ça a l'air de lui plaire, puisque non seulement il ne me frappe pas, mais en plus ça l'encourage à aller de plus en plus vite et de plus en plus fort. C'est tellement bon. Le plaisir remplace vite la douleur. Je le veux, j'aime qu'il me remplisse. Sa bite trouve une place naturelle dans mon cul. Il a été taillé pour elle. À chaque fois qu'il se colle à mon cul, je sens ses épais poils me chatouiller. J'adore cette sensation. Je le sens transpirer, nous sommes moites, et la chaleur ambiante de la pièce n'arrange rien. Il se couche sur moi, et continue sa pénétration. J'aime tellement ça. Mais je sens qu'il ne va bientôt plus tenir. Cette baise animale a finalement eu raison de sa virilité. Il se retire, et approche sa bite de ma bouche. Je le suce de nouveau, et il me suffit de quelques va-et-viens pour sentir des jets abondants de sperme venir s'écraser contre les parois de ma gorge. J'avale tout. C'est tellement bon. Il me fait nettoyer son pénis, et me lance un sourire. ? Félicitations, tu as passé le test. Il me relève, et m'accompagne jusqu'à ma chambre, qui sera ma prochaine demeure?