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Moule à bite de rebeux
Histoire gay publiée le 24/04/2017
Bonjour, je reviens pour une autre histoire. Je ne sais pas vraiment comment je me suis retrouvé là. Je crois que je marchais dans la rue, mais je n'ai aucun souvenir de ce qui s'est passé ensuite. En tout cas, je me retrouve ici, enchaîné, sans pouvoir voir quoi que ce soit. J'ai un bandeau sur les yeux. Je demande s'il y a quelqu'un mais on ne me répond pas. Je sens néanmoins une présence. Une lointaine respiration, parfaitement régulière. Elle se rapproche de moi. Je respire un grand coup, et je sens mon alpagueur qui m'enlève le foulard. Je suis dans une cave, seul, attaché à des tuyaux. Une petite lampe baigne la pièce de sa faible lueur. Mon ravisseur est un sublime maghrébin, aux traits très virils, mais a l'expression très froide. ? Je m'appelle Lahcen. ? Moi c'est? ? Je me fous de comment tu t'appelles. Oublie qui tu étais avant, cette personne est morte. Désormais tu t'appelleras''moule à bite'' Très subtil? ? Tu vas servir de trou pour tous ceux qui paieront. Pas besoin de crier, personne ne peut t'entendre, tu prendras juste des coups. Si t'es obéissant on te fera rien. Sinon, on va te faire regretter d'être venu au monde. Considère toutes les personnes qui vont payer pour toi comme tes maîtres, et moi le premier. Tu feras tout ce qu'on te dira sans exception et tout se passera bien. Si t'es une bonne chienne et que tu me rapportes beaucoup de fric tu pourras même être promu. Avec ta bonne gueule je me fais pas trop de souci, mais avant ça il va falloir que tu encaisses. Je sens la panique m'envahir. Mon corps est pris de tremblement et je me mets à pleurer. ? T'as pas intérêt à chialer comme une meuf devant les autres sinon tu vas prendre cher. Des potes passeront tout à l'heure pour entièrement t'épiler. Il faut que tu sois présentable pour tes nouveaux maîtres. Je me mets à pleurer de plus en plus, mais il s'en moque et finit par partir. Je me souviens maintenant ce que je faisais. Je devais aller chez ma s'ur, Keyla. Elle va sûrement appeler les flics dès qu'elle va voir que je ne suis pas là, et ils ne mettront pas longtemps à me retrouver. Ils seront même peut-être bientôt là, comme je ne sais pas combien de temps ça fait que je suis dans cette cave. J'attends donc, espérant voir venir des policiers. Mais les secondes se transforment en minutes et les minutes en heures. Je désespère de voir venir qui que ce soit. Au bout d'un moment, je vois enfin la porte s'ouvrir. Je m'attends à voir entrer les policiers, mais ce sont les potes de Lahcen. Ils ont tout le matériel qu'il faut pour m'enlever toute trace de ma virilité. Ils s'approchent de moi. ? Regarde, elle est mignonne la nouvelle petasse de Lahcen. Elle va bien lui rapporter. ? À condition qu'elle tienne le choc? ? Comment tu t'appelles ? Je commence à baragouiner mon prénom avant de me prendre une énorme baffe dans ma gueule. Ça fait horriblement mal. ? Comment tu t'appelles ?! ? Moule à bite. ? Ça va, elle devrait être assez facile à dresser. Je les vois s'approcher de moi avec leurs rasoirs. Ils m'appliquent de la mousse sur tout le corps, et commencent à me raser la moindre parcelle de peau, même mes poils de jambe ou de bras, ne laissant que mes cheveux et mes sourcils. ? Regarde Yanis comme elle est douce maintenant cette petasse ! ? Ouais, et Lahcen a dit qu'on avait le droit de l'inaugurer pour nous récompenser. Ils me détachent des tuyaux de canalisation, tout en m'avertissant de l'inutilité d'une quelconque mutinerie. Yanis colle ma tête à son pantalon, tandis que l'autre s'approche de mon cul. Le maghrébin baisse son pantalon et attend de voir ce que je vais faire. Comme il voit que j'hésite à le sucer directement, il me fout une baffe et colle mon visage sur sa bite. Je suis obligé d'ouvrir la bouche si je ne veux pas m'en reprendre une. Je me mets alors à sucer mon nouveau maître. Il y prend plaisir, et me malmène pour que j'aille de plus en plus vite. ? regarde c'te salope, elle bande ! ? C'est que ça lui plaît. Vas-y, fais toi plaiz encule-là à sec. Il rentre d'un seul coup son énorme bite dans mon cul. Je hurle comme pas possible. Je me prends une baffe par Yanis. ? T'arrête pas de me sucer ok ?!! ? Oui. Je m'en reprends une. ? Oui qui ? ? Oui maître. ? Sale suceuse de zob ! Je me mets à pleurer tout en suçant la grosse bite de Yanis, et en me faisant démonter par l'autre. J'ai mal de partout mais en même temps j'y prends du plaisir. Mon maître me puissance à faire des gorges profondes. Ils me maltraitent, me dominent pendant encore une heure, avant de me juter sur la gueule. ? C'est bien, t'es une bonne petasse. Ils me rattachent et se barrent sans même me laisser me nettoyer. Mon visage est couvert de leur sperme.