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Mon tunisien
Histoire gay publiée le 27/03/2017
Il se relève et me donne une gifle sur les fesses et repart rêver dans sa chambre auprès de mon ami Laurent. Fatiguer et essouffler, je me relève et parts m'endormir dans ma chambre. Ce soir là, je fus tellement fatigué que je m'endormis direct, dans la nuit je sens son organe qui me pénètre encore et encore comme si c'était pour lui la première fois que nous nous rencontrions. Il souffle tel un buffle derrière mon coup, il me mordit l'oreille et le coup pour ensuite me les léchés, il passe ses deux bras en-dessous de mes sous-bras et viens adosser sa poitrine derrière ma cage thoracique, je prends alors l'initiative d'étreindre sa jambes de droite avec ma jambe de droite et sa jambe de gauche avec ma jambe de gauche. Il est tellement excité que lui aussi écarte ses jambes pour enculer mon conduit lubrifier au sperme Bachir. Lorsqu'il l'introduit son gros calibre, il me susurre dans l'oreille:"Hmmmm, t'es une vrai petite petasse toi, t'as garder mon sperme, ça lubrifie bien ton boule bien bandant. Hmmm c'est bon, je kiffe ton boule". Tout on me pinant l'orifice, il me dit : " tu es à moi", il continue encore et encore sans se retenir sans se soucié de ce que je pouvais ressentir face à cette situation. "Hmmmm, j'ai envie de te féconder encore et encore tellement du me rend fou". D'un rudet coup de rein, il me dit " tiens prends ça". Je gémis de plaisir, mes sentiments sont partagé entre mon amour pour mon amant et mon amitié pour mon ami car nous avons le même amant. Bachir me baisse avec une grande vigueur, il n'arrête pas de m'enfiler, il me secoue dans tous les sens au gré de ces coups de reins puissant alterné par ces nombreuses postures digne des plus grands film de production porno comme "citébeur". Il me prend comme si sa vie en dépendait, ses caresses sur ma peau m'invite à lui faire confiance et à m'abandonné à lui, ses baisers gourmands devenue carnivore par la suite décuple mon désir de devenir sa femme pour la vie. Sa façon de me baisser, me fit prendre conscience de l'amour qu'éprouvait Bachir à mon égard, je me laissai faire et lui donnai tous le plaisir que je pouvais lui offrir. Il se défoulait sur moi comme sur une petite vierge, il ne cesse pas de m'enfourner son énorme pénis dans mon étui, il me chevauche, me cavale comme sa jument sans freinée sans ménagement il me baisse comme une bête sauvage, il s'acharne sur mon fion comme jamais une autre personne ne l'avait fait avant lui. Il y vas encore et encore sans répit sans pause, lorsqu'il reprend un peu son souffle s'est pour me dévorer la bouche puis une fois qu'il regagne son excitation il devient encore plus ensorcelait, il accélère la vitesse de croisière et veut sonder les profondeurs de mon abysse, il ne lâche rien car il sens qu'il va me féconder une fois de plus encore, dans une vitesse fulgurante il répand sa semence en moi et lâche un grand soupire, il s'en dort à mes côtés et ronfle comme un vrai camion. Le lendemain matin, lorsque je me réveilla, Bachir n'était plus là, je me leva et pris une bonne douche puis je rejoins Laurent à la terrasse qui prenait son brunch au bord de la piscine. Je me prend un verre de citronnade et m'allume une globe, tout en inspirant et en expirant à grand poumon toute la fumée de ma cigarette. Laurent me demande: "Alors ce weekend, Billy", je hochai la tête pour lui dire que j'avais apprécier mon weekend que cela m'avait procurer le plus grand bien ( on repensant à l'amour de Bachir pour moi). Je lui racontai ce que j'avais fait sans évoquer mes ébats avec son mec et nous rigolons de toutes les bêtises de la soirée de vendredi soir, nous nous confessions mutuellement sur nos passées respectifs que nous avons manqué, et je redécouvre un ami, mon ami pour qui j'ai beaucoup t'estime. Puis un silence s'installe, et Laurent se lève on me regardant il me dit : "je ne pourrai pas d'emmener à la gare ce soir, c'est Bachir qui te déposera si ça ne te dérange pas? ". Je lui répondit par la positive en lui affirmant que c'était gentille, je me leva et alla vers lui pour l'embrassait de tous mon coeur lui dire merci pour le weekend qu'il m'avait offert. Il versa quelque larmes car nous nous voyons très peu car il voyage beaucoup dans le monde. Puis il me dit qu'un jour ça sera lui qui viendrait sur Lyon. Puis dans un câlin fraternelle, nous sommes embrassait amicalement avec l'envie de ce revoir. Puis il récupéra sa manette, sa valise et son portable pour monter dans le taxi qu'il attendait en bas de la maison devant l'entrée du portail. Puis je lui fis signe de la terrasse il me fit signe de la main avant d'entrée puis à l'intérieure jusqu'à ce que je ne vois plus son taxi à l'horizon. Je me mis à débarrasser la table et à ranger par la même occasion. Curieux de savoir ou se trouvait Bachir, je le cherche dans la maison, j'entre par le couloir et je le trouve en dormi dans sa chambre. Je le laisse se reposer et je m'en vais finir de ranger ma valise et te donner des coups de fil à mes amis de Lyon. Je monte ma valise et m'installe dans le salon pour regarder la TV. Bachir se réveille et viens s'asseoir dans l'autre fauteuil et me dit:"Laurent est déjà parti" je lui répondit que "oui" et je lui demanda si il pouvait me déposer à la gare ce soir. Il m'affirma qu'il était au courant pour mon putain de train qui partait ce soir. Il se leva pris un café et alluma sa globe qu'il aspira à grand poumon. il me regarda et me dit:" déshabille toi", je déboutonna ma chemise puis mon short pour ensuite les faire tomber successivement, puis je le regarde dans les yeux et soutien son regard avec assurance. Il me dit à quatre pattes, ce que je fis. Dans l'instant qui suivait, il butina ma rondelle avec beaucoup d'amour, il l'embrassa, et infiltra sa langue de temps en temps pour m'offrir des sensations différentes avec sa super langue doué et experte en la matière. Il me fit gémir de plaisir, je pris sa tête pour la plaquer sur ma rondelle, et qu'il la lèche pour encore mieux me faire frissonner de plaisir et de désir pour lui. Nous avions la maison que pour nous. Dans un massage de mon anus à l'aide de ses doigts, il m'encule avec délicatesse et avec beaucoup de précaution. Il me fait l'amour, il ne me secoue plus, il ne m'agite plus dans tous les sens, ce matin c'est une baise d'adieux, qui se veut être emprunt d'amour, de générosité, d'un moment de tendresse et de sensualité extrêmement douloureuse de savoir que nous allons nous quitté. Alors qu'il me prend à quatre pattes en écartant ses cuisses et s'appuient sur ses pieds, il m'enlace de ses bras autour de mon buste pour m'étreindre fortement comme pour dire ne me quitte reste avec moi, puis des ses bras il me soulève légèrement pour déposer mon buste sur le fauteuil, il prend par la suite ma jambe gauche et l'écarte on la déposant sur le fauteuil. Il me ramone avec une douceur inouïe, il m'embrasse sur le coup des baisers gourmand et enivrant de plaisir, et me susurre dans l'oreille:" tu es a moi, tu m'appartiens". Puis il m'allongea sur le ventre pour me prendre encore, encore et encore toujours plus tendrement. Il me caresse, me souffle dans le coup tous son plaisir qu'il a à me faire l'amour, il gémit et m'enlace, il me chavire dans une autre position sur le dos il se couche sur moi, et me fait l'amour tout en m'embrassant avec tant de fougue et de plaisir, que bientôt c'est moi qui est gagné par son amour infatigable, j'écarte encore plus les cuisse et je serre les parois de mon orifice pour lui offrir un conduit des plus serré possible, et il m'introduit son membre entre fesse comme celui qui serait le maitre de ses lieux, il va et vient comme bon lui semble. D'un coup, il m'attrape la tête et m'embrasse sans s'arrêter, et accélère la vitesse de ses allée-retour pendant quelques minutes pour ensuite me féconder, et me dire à l'oreille :" ne pars pas reste ici avec moi, s'il te plait". Je fus complètement déboussolé, je le savais mais j'étais loin d'imaginé qu'il allait me demander de rester avec lui chez mon ami. Tant de bienveillance après tant de malveillance........................ Mais je ne pouvais faire autrement, car j'avais une présentation à faire et mon directeur compter sur moi, et je jouais ma carrière professionnel. Je lui expliqua la situation, qu'il prit avec beaucoup de recul. Puis nous avons préparé notre déjeuner, il m'a fait l'amour lorsque je faisais la cuisine, puis après manger, dans la voiture, dans les toilettes de la gare. Quand je pris mon train, assis à le regarder, il me fit signe de la main, et disparu par l'avancement du train sur les railles, même si je ne le voyais plus, le vide que je ressentais, je le ressentais aussi en moi dans mon anus. Lorsque je bougeai cela provoquait en moi de forte chaleur et de désir intense de le vouloir encore en moi. Un tunisien inconnue Un tunisien connue Mon tunisien C'était Billy, pour "CITEBEUR.COM" un histoire pour un maximum de relation.