Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Un tunisien connu
Histoire gay publiée le 24/03/2017
Alors que je terminai de ranger les courses et de faire mariner les différentes pièces de boucherie dans des plats que je mis aussitôt dans le frigo. Je quitta la pièce on laissant "Laurent et Bachir" dans leurs ébats. Tous en rejoignant ma chambre, je pensais à ce que j'avais fait à mon ami et comment il allait réagir si il venait à apprendre ce qui s'était passé entre Bachir et moi. J'enfile mon maillot de bain et je pars piquer une tête dans la piscine avant l'arrivée des convives. Je retrouve mes deux hôtes, qui préparaient le festin, je traverse le salon, et je sens que les yeux d'un des mes hôtes me dévore du regard, au moment d'ouvrir la porte vitré qui donne sur la terrasse et la piscine où le barbecue flambé déjà, je le vis me regarder de désir sur la vitre, Laurent ne s'occuper pas il ni voyait rien dut tout dans son petit manège, je dépose ma serviette sur le transat et je plonge direct. Après quelque brasse je ressors et cours me mettre une serviette à la taille et enlève mon caleçon de bain l'essor et l'étend sur le fil à linge. Puis je rejoins Laurent pour l'aider à la cuisine. Les salades, les fritures ( j'avais bien raison de ne pas me laver tout de suite) les pizzas, les quiches et encore pleins d'autre petit plats au four, dehors Bachir s'affaire à la grillade pour les morceaux les plus long à cuire. Alors que je terminai de ranger la vaisselle lavée, Laurent m'appelle pour avaler un verre avec Bachir et lui en attendant les convives. Nous levions nos verres aux travail accomplit en aussi peu de temps qu'il ne fallait pour que les premiers invités sonna à la porte, Laurent parti les ouvrir avec un accueille des plus chaleureux. On entendit des voix dans le hall d'entrée, je bu mon verre d'une traite, et fit comprendre à Bachir que j'allais prendre ma douche, pour être plus présentable. Je pris la fuite pour me doucher et me changer en deux trois mouvements pour aider Laurent et Bachir à accueillir leurs invités. Alors que je m'enduisais de la crème sur le corps, je sens la chaleur d'un corps derrière moi, qui s'attire à moi comme un aimant, se pose ces mêmes mains; qui m'ont connu les premières; sur mes hanches et tandis que l'une me caresse en remontant mes lignes, l'autre caresse mes courbes en descendant et dans un balais magnifiquement orchestré il vient me déposer un baiser gourmand de plein de bonne chose dans le coup. Mes tétons pointe, ma queue bande, la main qui l'avait remonté m'appuya l'omoplate de sortes que je m'incline, sa main du bas fait basculer mon bassin en arrière pour présenter un orifice encore ouvert, et me susurre à l'oreille du sent bon dans la même occasion il enfonce son pieux dans mon anus encore humide, il entre et sort en moi avec toujours cette envie insatiable de me prendre encore et toujours plus profondément sans s'arrêter, il ne me laisse pas le temps de reprendre mon souffle, il me pénètre jusqu'au plus profond de mes entrailles, parfois il s'arête dans son rythme effréné pour m'enculer d'un grand coup de rein sec rudet et rapide et il le recommencera à plusieurs reprise. Il me mis à quatre pattes et pris son pied derrière moi à me monter sans faire semblant avec la détermination de me faire éclater son gland dans mon fion. Je sus qu'il aimait cette posture car il m'a agrippé et chevauché comme sa petite femelle qu'il voulait que pour lui. Au bout d'une cadence effréné il m'a fécondé comme pour marquer son territoire pour ce soir. Le temps que je reprenne mes esprit, il était déjà reparti à la fête. Je repris une seconde douche et me changea pour aller faire la fiesta. Durant la soirée, je rencontrai des personnes formidables tout comme ce couple, qui aimait voyager et faire du tourisme gastronomique, ou encore ces deux jeunes soeur jumelle que Laurent avait rentré la toute première fois qu'il était arrivé à Montpellier, qui sont devenus par la suite des amis inséparables et pendant toute la soirée également. Bien sûre les 15 invités avaient également des amis, ce qui dépasser largement ce que j'espéré rencontré. Un moment, je m'assis sur un des transats, et je les regardai leurs verres à la main discutant de tous et de rien et rigolant à grand éclats. Je jeta un coup d'oeil au barbecue et je vis Bachir seul à griller ses nombreux grillades, je rechercher d'un regard Laurent et je le vis en plein palabre avec ses amis. Je me dirigea vers Bachir pour l'aider à terminer les cuissons et qu'il puisse aussi profiter de la soirée. Quand il me vit, il me fit un grand sourire qui on disait long. Je pris les choses en main avec une pince pour retourner les côtelette d'agneau de mon côté, une fois mes côtelettes cuitent. Bachir me demanda de ne rien dire à Laurent car ça le tuerai, il me disait combien il était heureux que je sois là avec eux et qu' il m'appréciait beaucoup. Et que j'étais comme un frère pour lui. A ce moment, je me sentais encore plus sale que lorsque je suis arrivé. Etonné de sa demande, je le regarde dans les yeux et lui dit et pour nous deux, Bachir me dévisage d'un regard noir et me dit que c'était de ma faute; que je l'avais séduit à rêver comme ça devant lui tout nu. Alors que je ne faisais que rêver et que j'ignorai qu'il était là, aussi j'aurai était beaucoup plus prudent. Je me et repart dans ma chambre. Je reprend une douche, ferme à clé ma porte et je m'affale tout nue sur mon matelas tout on me disant au moins là il ne pourra pas trouver d'excuse cette fois-ci. La soirée c'est terminée juste peu de temps après mon départ. Le silence s'est répandue dans la petite vallée qui donne une vue magnifique sur le Mont-Pilla. J'entendis le poignet de la porte tourner, et la porte se bloquer sur le verrou fermer que j'avais enclencher avant de m'endormir. Et plus rien. Le lendemain matin, je nageai dans la piscine et chasser de mon esprit l'image de Bachir qui me hanter sans répit. J'entendis, un café ou un vert de jus d'orange? J'arrêta stupidement de brasser et le vis devant moi debout avec son corps d'apollon sculpté par la musculation. Je sortis de l'eau et le regarda avec mépris et dans un regard du coin de l'oeil du bas vers le haut, je lui répondit non merci je ne déjeune pas le matin. Je reparti à ma chambre et me ferme à double tours, pour me laver et me préparer à partir faire du vélo. Je l'entends à l'entrée de la porte et il essaye d'ouvrir mais ne puissance pas plus quand il comprend que je l'ai encore fermé. J'attends encore puis j'ouvre la porte on allant direct vers le garage, pour enfiler un casque et prendre le VTT de Laurent et je part faire une ballade dans le village jusqu'au soir ou je dinerai dans un petit kebab du coin. Quand je rentre, toute la maison reve, je m'abandonne dans l'immense fauteuil hyper confortable et m'endors paisiblement sans même plus me soucié de Bachir. A cet instant, Bachir mis sa main sur ma bouche et appuya fortement afin qu'aucun son ne sorte de ma bouche, il pose son index sur sa bouche et dit chuuuuuuuuuuttttttttt, déshabille toi aller! Je m'exécute et le regarde bien droit dans les yeux, et me retourne sur le ventre, je l'entend cracher et m'introduit deux doigts, je l'entends cracher et je sens son membre chaud faire son entrer et m'élargir les parois encore fraichement dilater et humide. Il est comme chez lui il me visite de fond en comble, il me lime sans état d'âme, lorsqu'il me pénètre encore et encore j'ai l'impression qu'il s'enfuirait avec moi pour la vie si je lui demandai, il aime me secouer avec ses grand coup reins, il aime m'enculer, me pénétrer et me faire chavirer dans des positions qui me feront sentir encore et toujours plus profondément sa queue en moi. Il y met tous son coeur à me donner du plaisir, il me remplit et me vide, il baisse sans répit, tellement excité, il monte sans ménager sa monture. Lorsqu'il arrête ces assauts, c'est pour m'embrasser goulument avec une soif de désirs et de pulsion qui ne prendra fin qu'au plaisirs satisfait. Et reprend de plus belle avec des coups de reins sec rude et rapide suivi d'une cadence effréné. Mon orifice est sacrement bien ouvert j'essaye de le serrer et je pousse des gémissements par le rythme qu'il viens d'entreprendre, alors que je le croyais fini il me relance et me charge avec des coups de reins passionné et fou amoureux de mon boule qu'il veut défoncer et saucer. Je le sens prendre son élan pour m'enfourner son pénis dans mon anus encore et toujours plus profond, alors que je continue tant bien que mal à serrer mes parois, je le sens s'acharner sur mon fion comme un homme en rude et avide de sexe et plus je serre et plus il y va encore plus vite, plus fort et encore plus profondément, jusqu'à me déchirer l'anneau annale et me féconder une troisième fois. Et me susurre à l'oreille, laisse ta porte ouverte si non tu ramasses deux fois plus. Tu vois c'est encore de ta faute. Histoire à suivre ?