Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Les potes de mon frère
Histoire gay publiée le 28/02/2017
Un samedi après-midi, alors que je révisais tranquillement dans ma chambre, la porte ouverte. Mon frère, Thibault, avait une nouvelle fois invité ses potes, Florian et Julien, pour passer l'aprem dans la piscine. Tous avaient autour de 20 ans et étaient relativement bien foutus. Étant en shorts de bains, j'avais eu l'occasion de voir le torse de Julien et Florian. Tous les deux étaient relativement bien dessinés. Très attirants. Mais j'essayais de rester concentré. J'étais complètement plongé dans mes bouquins quand j'entendis la voix de Florian. Je me retournais et m'aperçut qu'il était sur le pas de ma porte. - Pardon, tu m'as parlé ? lui dis-je. - Ouais ! Je te disais « Tu t'en sors ? » - Pfff non je galère un peu ? - C'est si compliqué ? me demanda-t-il bêtement ? - Pas vraiment ? Enfin, un peu, je comprends pas tout - Tu veux un coup de main ? J'ai trop chaud dehors, je venais juste avaler un truc, mais je peux t'aider quelques minutes si tu veux. - Oh ! C'est super gentil, mais non t'inquiètes. C'est surtout d'un cobaye que j'aurais besoin. Dis-je en plaisantant. - Ah bon ? Pour faire quoi ? Si tu veux, je veux bien me dévouer ? Euh ? ca dépend quand même de ce tu comptes faire. Dit-il en rigolant. - Ah ! T'es bête ! Rien de bizarre, juste m'entrainer à faire quelques examens cliniques. Genre l'examen du genou et de la cheville? - Oh bah si ce n'est que ça, je me dévoue ! Tu veux que je fasse quoi ? J'étais très gêné, bien que je trouve sa proposition de m'aider très gentil. Je ne pouvais occulter le fait qu'il était toujours en short de bain, torse nu. - Bah écoute, allonge toi sur mon lit alors. - Et ensuite ? - Bah rien, laisse toi juste faire, et dis moi si jamais je te fais mal. Je commençais donc par lui manipuler la cheville. M'entrainant à rechercher les reliefs osseux et tendineux puis tester certains mouvement. Je poursuivais mon apprentissage au niveau du genou, Florian se laissant complètement faire. Pris dans mon élan, je continuais de remonter pour m'attaquer à la hanche. Je plaçais ma main droite sur sa hanche gauche, et, pour pouvoir le manipuler correctement, ma main gauche à la face interne de sa cuisse gauche. Je testais les différents degrés de rotation quand je m'aperçu que son entre-jambe avait légèrement augmenté de volume. Le mien aussi en réaction. Je sentais l'excitation monter en moi. Du coup j'arrêtai tout. - Voilà, j'ai fini, c'était sympa de ta part, tu peux retourner dehors si tu veux. Dis-je un peu maladroit. - Ah ouais ? Me demanda-t-il surpris. Ce qui me dérouta. - Bah euh ? oui. - T'as fait tout ce que tu voulais tester ? Je trouvais son intonation de voix différente tout à coup. Totalement fébrile, je répondis : - Bah ouais, parce qu'après il faudrait que je te déshabille, ca serait gênant. Bien évidemment, je n'avais guère besoin de le déshabiller, mais qui ne tente rien n'a rien comme on dit. - Oh mais non t'inquiètes, ça ne me dérange pas. C'est pour la bonne cause, dit-il en rigolant. Mais par contre, je veux bien que tu fermes la porte, je n'ai pas envie que ton frère me surprenne à poil. Je m'exécuta, et fermais la porte à clef. A peine m'étais-je retourné que Florian, toujours allonger sur mon lit, était en train de retirer son short de bain. Me révélant au passage son joli petit trou puis une jolie queue, totalement rasé, en demi-molle. Faisant semblant de l'examiner je commençais par lui palper les couilles, qui étaient très douces. Très rapidement son sexe était passé de demi-molle à une érection fière et assumée. Pris d'excitation je commençais à le branler, mon autre main venant caresser son torse. - Hmm ! Jules, t'es en train de m'exciter là ! me dit Florian. - Toi aussi ! - Non mais j'suis pas gay moi ! - Ah ouais ? Pourtant t'as pas l'air d'être insensible. - Comme toi ! me répondit-il en désignant mon entre-jambe du regard. - Pas faux, mais moi je suis gay ! - Ah bon ? Mais comment tu peux en être sûr ? - Bah euh ? j'ai déjà couché avec d'autres mecs ? Lui avouais-je - Oh ?. Après quelques secondes de blanc, il m'avoua qu'il ne savait pas trop si il était gay, bi ou hétéro. Mais qu'il n'avait jamais rien tenté avec un mec. Sans vraiment lui demander son avis, je m'accroupis et pris son sexe en bouche. Je l'entendis gémir de surprise. Sa queue, bien que sans être hors-norme, devait bien mesurer 16-17 cm tout en étant assez large. Je le pompais pendant plusieurs minutes, modifiant le rythme de mes va-et-vient en fonction de ses gémissements. Mes mains caressaient son torse musclé imberbe, suivant du bout des doigts les dessins de ses muscles. La situation était vraiment excitante. Je n'en pouvais plus. Il du être, lui aussi, excité puisqu'il me demanda si il pouvait me sucer également. Sans me faire prier, je retirai rapidement mon pantalon et mon boxer, libérant mon sexe de 19 cm en érection. Puis je me plaçais de façon à pouvoir le sucer tout en lui offrant ma queue, qu'il prit avidement en bouche. Pour une première fois, il se débrouillait plutôt pas mal. Au bout d'un petit moment je senti sa main venir explorer mon torse, puis mon dos. Petit à petit il descendit et me caressa la raie. Je ne m'y attendais absolument pas, mais le laissait faire. Je fus surpris de son audace lorsqu'il me mit un doigt, ce qui me fit gémir par réflexe. Pour un novice, il me faisait beaucoup d'effet. Au bout d'une petite minute, il introduit un second doigt en moi, puis un troisième. Je ne savais absolument pas si il était capable d'aller jusqu'au bout, mais je n'en pouvais plus, je n'avais jamais été autant excité. Je retira mon sexe de sa bouche, le plaqua sur le dos, et me mis à califourchon sur lui. Je pris le risque de l'embrasser, mais ce fut lui qui me roula en premier une vraie pelle. Tout en répondant à son baiser, j'attrapais sa queue de ma main droite et la dirigeait vers mon trou. Je me titillais le trou sur son gland, mais, sans me prévenir, Florian donna un grand coup de bassin et entra complètement en moi. Je du retenir mes gémissements, quand il commença vraiment à me baiser. Il me pénétra plusieurs minutes dans cette position avant de me susurrer à l'oreille : - J'ai envie de te prendre en levrette ? J'obéis et changea de position, lui offrant mon cul. Aussi rapidement que la première fois, il entra en moi d'un trait. Une fois bien au fond, il reprit de plus belle. Me baisant comme jamais. Très rapidement, je l'entendais gémir, sa respiration devenir plus saccadée. Et sans me prévenir il rependit tout son sperme en moi, avant de s'écrouler sur mon dos. Il ne s'était pas encore retiré que nous entendîmes mon frère appeler Florian depuis le jardin. - Oh ! me dit-il. Il faut que je retourne dehors ! Désolé ! Il m'offrit tout de même un baisé avant de partir. A peine était-il sorti que Julien, le second pote de mon frère entra dans ma chambre et ferma la porte derrière lui. Il est important de signaler que j'étais toujours nu, et que mon érection n'avait pas vraiment eu le temps de s'effacer. - Euh tu fais quoi là ? C'est ma chambre ! L'engueulais-je - Non mais détend toi Jules ! Me répondit-il gentiment. Personne ne sait que je suis venu te voir. A vrai dire, avec ton frère on s'inquietait de ne pas voir Flo' revenir, du coup je suis parti à sa recherche. Je ne le trouvais pas, mais quand je suis passé devant ta chambre j'ai entendu du bruit ? J'ai regardé par le trou de la serrure et je vous ai vu tous les deux ? en train de ? enfin tu sais ? Bref, ça m'a excité de ouf. Du coup je suis retourné voir ton frère pour lui dire que je ne trouvais pas Flo' mais que je devais partir. Et j'ai attendu que Florian sorte de ta chambre ? Et me voilà ? - Euh ? Mais tu veux quoi ? J'étais un peu perdu. - Toi voyons ... Julien fit un pas vers moi, puis un deuxième. Au troisième je le vis approcher ses mains de son short de bain. Au quatrième pas, il le fit glisser par terre. Me dévoilant alors son énorme sexe. Puis il fit encore un pas pour se trouver à quelques centimètres de moi. Nos sexes pouvant se toucher. J'avais beau être fier de ma queue, la sienne était beaucoup plus grosse et un peu plus longue, au moins 20 cm. A ma grande surprise, il s'accroupit devant moi et pris ma queue dans sa bouche pour me pomper délicatement. Pour la deuxième fois de la journée, mes barrières tombaient, je me laissais faire. J'avais envie de lui. Je m'accroupis au sol également et le bousculais de sorte qu'il se retrouve allongé sur le parquet. C'était à mon tour de le sucer. Je n'arrivais pas à le prendre complètement dans ma bouche. Très rapidement je commençais à avoir mal à la mâchoire. Je me stoppais donc. J'étais à quatre-pattes par terre. Julien se redressa, me fit comprendre de ne pas bouger, et vint se placer derrière moi. - Tu risques d'avoir un peu mal ? Mais Flo' t'as bien préparer, ça devrait aller. Ok ? - Ok ! Vas-y ! - T'as pas une capote ? - Non, avouais-je, gêné ? Florian m'a pris sans, et ? il m'a juté dedans. - Oh ! Cela dut l'exciter puisqu'il tenta de rentrer en moi. Après avoir encouragé un peu le passage et généré une légère douleur, il était bien en moi. - On peut dire merci à Flo' il t'a bien ouvert, et son sperme te lubrifie bien le cul. Sans attendre, Julien commença des mouvements amples du bassin. Il accéléra de plus en plus. Tellement qu'à un moment je perdis l'équilibre et m'étala sur le plancher. Allongé ainsi sur le ventre, Julien vint me lécher rapidement le trou avant de reprendre de plus belle sa pénétration. Je n'avais jamais pris une bite aussi grosse en moi, mais c'était agréable. Au bout d'une dizaine de minutes, Julien n'en pouvait plu, il accéléra encore le rythme, me faisant gémir, puis se vida les couilles en moi. Son sperme eu l'avantage de soulager la sensation de brulure qui commençait à naitre du fait du frottement. Une fois retiré, il me retourna. J'étais toujours allongé sur le sol, mais cette fois, sur le dos. Et Julien vint se mettre à califourchon sur moi. Sa main venant trouver mon entre-jambe. - Tu fais quoi là ? lui demandai-je. - Jules, laisse toi faire, je vais te rendre la pareille. Ce que je fis. Il me masturba quelques secondes avant de diriger mon gland vers son trou. D'un mouvement de la main gauche, il vint récupérer le sperme qui dégoulinait de mon trou pour s'enduire le sien. Sans autre préparation, il vint s'asseoir sur ma queue qui entra sans inviter. - Hmm t'as un bon petit cul Julien ! Mais c'est pas ta première fois, je me trompe ? - Non effectivement. Et il débuta ses va-et-vient sur ma queue. Je le baisais profondément. J'accélérais de plus en plus le rythme, mais j'étais coincé par notre position. Je m'arrêtais donc, le fit se relever pour lui poser les mains sur mon lit. Ainsi il m'offrait son joli petit trou. Je pu le baiser de nouveau, aller de plus en plus rapidement. Je senti que j'allais venir. Je sorti de son cul, et le fit s'asseoir devant moi pour qu'il puisse me sucer. Je planais. Je ne pu le prévenir et juta une folle quantité de sperme au fond de sa bouche. Il n'en perdit pas une seule goutte. A bout de puissance, je m'écroulais sur mon lit. Julien s'installa juste à coté de moi. - Alors comme ça tu es gay ? lui demandais-je. - Comme toi visiblement. - Gagné ! Dis-je en rigolant. Et tu es plutôt actif ou passif ? - Les deux. Mais je dois t'avouer que tu es le premier mec que je prends, personne n'a jamais voulu. - Oh ! Quel gâchis ! Donc toujours passif sinon ? Je dois avouer que j'étais un peu curieux, j'avais toujours cru que lui, comme Florian, était hétéro. - Ouais, mais qu'avec un seul mec ! - Un seul ? Une seule fois ? - Ah non, souvent, mais toujours le même ! - D'accord, c'est un gars de ta fac ? - En quelques sortes ? - Allez Julien, joue pas les timides, pas après ce qu'on vient de faire. Lui balançais-je. - Non mais ? Jules ? C'est ton frère ! - Hein ! Mon frère ? Thibault ? Tu te fous de moi ? Il est pas gay ! répondis-je complètement surpris et agacé. - Je t'ai pas dis qu'il était gay. Il ne l'est pas. Complètement hétéro même. Sauf qu'il galère avec les nanas, comme moi avec les mecs. Du coup, quand il a découvert que j'étais gay, on a trouvé un arrangement. Il me prend, ca me fait du bien et lui ça lui permet de se vider les ? - Arrête ! Je ne veux pas en savoir plus, tu parles de mon petit frère quand même. Maintenant je l'imagine en train de te prendre ? Tsss ! - Ah désolé ! Bon allez, faut que je file, je suis censé être déjà parti pour Thibault et Florian. Mais on pourra remettre ça si tu veux. Me dit-il, tout en me faisant un clin d'?il et en récupérant ses affaires. Bien évidemment, mon chemin à recroiser celui des potes de mon frère quelques mois plus tard, mais ça, ce sera pour une prochaine fois ;)