Histoires de sexe

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Mon amant de jeunesse
Histoire gay publiée le 27/02/2017
C'est l'été et la nuit tombe sur le village de mon enfance. Après une journée de dure labeur nous partons nous coucher. Nous nous installons chacun dans nos couches et la fatigue laisse place au repos tant mérité. Quelques minutes plus tard, j'entends frapper à la fenêtre au dessus de moi et mon première amour de jeunesse m'appelle aux aboies. Je reconnais cette voie grave, qui m'émoustille déjà. Mon envie s'enflamme et je décide d'aller à sa rencontre. Toutes les portes de la maison sont fermés, chaque pas que je fais vers lui fais exploser mon envie à tel point que j'en tremble de tout mon corps et c'est avec beaucoup de discrétion que j'ouvre la grande porte principale on essayant de faire le moindre bruit possible et je referme silencieusement derrière moi. Je rentre dans la cour du jardin et je le vois sous le pommier rose de mon grand Homme mur à l'entrée de la propriété. Debout entre l'obscurité et la lumière du luminaire de la rue alors se mêle un jeu de contraste qui laisse dessiner sous ses habilles son corps d'athlète d'Apollon sculpter par ces années d'entrainement de football. Je me dirige vers lui, je n'ai même pas le temps de lui dire bonsoir. C'est avec autorité qu'il me donne l'ordre de le suivre. Je le suis, sans un mot, je sens en moi ce désir qui explose tel un volcan, je tremble en marchant derrière lui. Il entre dans la propriété de mon grand-Homme mur et va se placer dans un coin reculer et discret. Il est débout et attend ma venue avec beaucoup d'ardeur. Plus je m'approche plus je me mets à trembler, plus je m'avance et plus je sens l'odeur de son envie de sexe. Lorsque j'arrive en face de lui, il me dit sans transition : " Vas-y viens téter ma pine ". Je m'abaisse et je lui baisse son short de sport de football. Je sens comme une petite odeur de sueur, qui ne me déplais pas trop et j'ouvre grand la bouche pour refermer mes lèvres sur son 24/5 mat pour accueillir dans mon orifice son pénis, en même temps que j'effectue des vas et viens je fais tournailler ma langue et aspire ma salive produite par ma fellation. J'entreprend énergiquement de le pomper cet alors que je vois ses jambes s'écarter pour mieux m'offrir son organe au maximum de son développement d'érection, au même moment je le vois se cambrer et viens mettre sa main derrière ma tête pour accélérer la cadence de mon entretien et me dis " tu l'aime bien, t'as vu elle grosse ma queue" mon oui ne se fait pas attendre. Je devine qu'il apprécie tous les efforts que je fournie et que je mets en oeuvre pour satisfaire ses pulsions sexuelle de footeux en rude. L'excitation le gagne au fur et à mesure que passe le minutes, c'est avec fougue qu'il me relève et me chuchote : " tourne toi! je vais te défoncer". Je me retourne, j'avale la salive qui dégouline de ma bouche en feux de l'avoir sucer, lécher et avaler et le surplus qui reste je le crache et j'enduis de ma sécrétion mon anus, j'essaye de lui faire une dilatation rapide mais efficace. Pas le temps, mon amant présente déjà son membre surdimensionné, j'ai juste le temps de retirer ma main, qu'il touche du bout de son gland mon entre qui se décontracte.C'est d'un coup de rein rude et précis qu'il me prend, mes deux mains posées sur le bas de son abdomen,mon ation et mon cris de douleur lui fait comprendre que je venais de lui offrir ma virginité anale. Une grande bouffée de chaleur envahit tout mon être entier et me pousse à souffler, un vent d'air chaud de plaisir caresse nos corps nue dans la pénombre, mes parois s'adapter à l'invité et se laisse vider puis remplir à chaque coup de masse que je reçois. Il me prend, m'écarte, me fourre, il me retourne dans toute les positions. Mon amant footeux s'acharne sur moi, j'encaisse ses coups de marteau-piqueur qui se font de plus en plus précis, profond et rude. Je comprends qu'il s'est gardé pour moi, je comprends qu'il n'attendait que les vacances pour me revoir pour me témoigner tout son amour pour moi. Je n'ose pas me branler car ma queue est dure et au moindre toucher je sens que je vais venir alors je décide me laisser conduire. Ses assauts se fond de plus en plus incessants rapides profond mais avec plus de rudesse je sens ses mains m'agripper les hanches avec plus de poigne. Ses martèlement sont alternés dans une chorégraphie magnifiquement orchestré à chaque chevauchement de ses mains musclés veineuses et imberbe il me tire vers lui, j'en ai le souffle couper tellement que ses entrées deviennent mitraillante, j'hurle de plaisir j'écarte deux fois plus. La chaleur de nos corps augmentent, je sens tomber sur mes fesses plusieurs gouttes de sueur et ses mains deviennent humides. Dans un élan de mal rude sauvage en rude il me pilonne, me charge de coup encore plus rapide, je suis obliger de laisser ma bouche ouverte pour laisser passer l'air afin que je puisse respirer, dans un grand râle il dépose sa semence en moi à l'aide de cinq coup de rein sec et rude, je me branle et je joui aussitôt après avec son pieux en moi. L'herbe aplatit témoigne de notre ébats nocturne. Nous nous rhabillons chacun de notre côté sans nous dire un mots pour ensuite repartir chacun de notre côté. Ce soir là, j'ai su qu'il avait été à son entrainement de football puis il était rentrer chez lui se laver pour ensuite marcher jusqu'à mon village pour me rencontrer. C'était Billy pour l'histoire de son amant de jeunesse. ?