Histoires de sexe

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Eric le bogoss étudiant
Histoire gay publiée le 31/10/2016
En conduisant j'apprends qu'il est étudiant, qu'il va camper quelques jours près du village, qu'il s'appelle Eric, je regarde son profil, son visage est bronzé comme ses cuisses, ses cheveux blonds en bataille, ses lèvres pleines et sensuelles...Il remarque que je le regarde et se tourne vers moi avec un sourire de ses yeux en amandes, qu'il est beau ! Je dois me calmer car je sens mon jean se tendre ! Mon regard tombe sur ses cuisses et son short blanc, loin de me calmer, je bande à mort ! Je tente le tout pour le tout : en poursuivant la conversation, je ralentis et je pose une main sur sa cuisse, c'est chaud, je bande de plus en plus dur ! Il ne réagit pas, encouragé, j'insiste et ma main remonte un peu plus haut vers son short, Se tournant vers moi, il me sourit encore et je distingue dans ses yeux un regard d'invite vicieux ! Baissant les yeux vers son short, je me rends compte qu'il commence à se tendre ! Je pose ma main sur l'endroit de son petit short qui montre un pli évocateur. Son sourire s'élargit et il pousse un petit soupir de satisfaction en posant à son tour une main sur ma cuisse. Là, je coupe le moteur de ma voiture et en silence ma main palpe à travers son short sa barre qui grossit et s'allonge par à coups, il explore de sa main ma braguette qu'il a ouverte, silencieusement nous nous excitons... Ses doigts entrent dans ma braguette et commencent à aller et venir lentement sur ma bite à présent bien dure, ah ! Me faire branler par ce magnifique garçon ! Le pied ! De mon côté, sentant à travers le tissu de son short s'allonger sa barre, il ne porte pas de slip... j'ouvre à mon tour sa braguette et mes doigts atteignent la chaleur de sa bite qui tressaute sous mes doigts. Il me regarde vicieusement et me dit :-Tu vois, j'ai envie ! Embrasse moi, fais moi jouir ! J'hésite, car si nos mains dans nos braguettes ne sont pas visibles pour les passants, nous embrasser serait plus dangereux...Aussi, je lui réponds en accélérant ma masturbation sur sa bite:-Pas ici ! Tu as le temps ? Si tu veux, allons chez moi ! Il soupire :-Ah oui ! en se cabrant sur son siège il ajoute :-Continue à me branler, c'est bon ! Et il continue lui aussi, si bien que je suis sur le point de juter dans sa main, je lui dis :-Arrête ! Tu vas me faire jouir, attendons d'être chez moi ! Je remets ma voiture en route et nous arrivons chez moi. Dans mon living, nous nous asseyons côte à côte dans le canapé, je vais à la cuisine chercher verres et boissons, lorsque je reviens kil s'est mis à l'aise dans le canapé :il a relevé son t-shirt montrant son nombril et étendu ses jambes, il me fait un sourire enjôleur il est super désirable ! En bandant dur dans mon jean, je m'assieds près de lui et enlace ses épaules, il m'embrasse sur les lèvres et bientôt nos langues chaudes se mêlent délicieusement, Mon jean et prêt à craquer sous la pression de ma bite en feu ! Je regarde son petit short blanc prêt a craquer lui aussi ! Le long de sa cuisse sa barre tend le tissu et son gland commence à sortir de la jambe du short le long de sa cuisse, oh ! Comme il bande et comme c'est excitant ! Il me dit alors en ôtant son t-shirt :-Tu as vu ? Tu me fais bander comme un fou ! J'ai envie de toi, déshabillons nous ! J'enlève ma chemise et détache mon jean en contemplant ce splendide garçon : ses cuisses bronzées, son minuscule short blanc tendu par sa flèche qui dépasse, son torse musclé et imberbe d'adolescent, ses lèvres sensuelles et ses yeux emplis de désir...Qu'est ce que j'ai envie de lui moi aussi ! Allons dans ma chambre, dis-je, excité à mort. Il se couche sur mon lit et je caresse ses cuisses, je glisse ma main dans la jambe de son short là où sa bite tend le tissu et caresse sa bite chaude et dure comme acier, il pousse un râle de plaisir, et fait :-Enlève ton jean ! Et il fait glisser son petit short jusqu'à ses chevilles : il ne porte pas de slip et sa bite se dresse triomphante, longue et arquée en arrière tant elle est dure ! Je n'en peux plus et j'enlève mon jean et mon slip et bite dressée je me jette sur lui. Qui clame :-AH OUIIII ! C'EST BON ! VAS-Y, FAIS MOI JOUIR ! Notre désir nous fait délirer : nos cuisses se mêlent, nous bites brûlantes se frottent l'une sur l'autre, c'est chaud et délicieux ! Nous nous embrassons encore et encore, ma main va et vient lentement sur sa belle bite, sa main fait pareil sur mon épieu, puis il cambre les reins et fait en accélérant sa masturbation sur ma bite:-Plus viiite ! PLUS VIIITE ! A FOND ! OUIIII ! Nos mains vont et viennent à fond la caisse, nos corps transpirent et se tendent, nous allons jouir...Mais ?STOP ! Dis-je : faisons durer, c'est trop bon ! Il halète :-C'est...h !...super...h !...On arrête un instant... OK. Nous lâchons un instant nos épieux brûlants, J'enlace Eric qui tressaute contre moi et me supplie en haletant et en saisissant à nouveau ma bite dure comme fer :-Br...Branle-moi à fond ! H !...Vas y ! J'en peux plus, moi, j'suis chaud ! Il se cambre devant mon visage :-FAIS-MOI JOUIR ! Son gland frôle les lèvres, d'un coup de reins il enfonce sa bite raide dans ma bouche en criant :-AAAAH !...H !...C'EST TROP BOOOON ! sentir la bite dure de ce beau garçon aller et venir dans ma bouche, je vais jouir ! Il crie et halète et branle mon épieu en disant :-H !...JE...H !...JE VIENS ! AAAH ! Un puissant jet éclabousse ma gorge, puis un autre, à cette sensation je jute à grands jets dans sa main, nous nous abattons sur le lit en haletant, Eric sent le sperme et la sueur, je respire son beau corps et je jouis encore sur son torse. Lorsque nous nous sommes un peu calmés je lui demande :-Il se fait tard, tu pourrais rêver ici et reprendre la route demain... -Bonne idée, répond il. Après avoir mangé nous retournons dans ma chambre et nous couchons complètement nus, il va sans dire qu'aussitôt nous recommençons à nous embrasser, nous caresser, nous bandons dur et nos mains vont et viennent délicieusement sur nos bites jusqu'à ce qu'il râle et halète :-Ah !...H !....C'est bon ! Con...Continue ! PLUS FORT ! Il me branle à toute vitesse, je deviens fou de plaisir, il se cambre, son corps frémit et il lance plusieurs jets sur moi, éclaboussé de son sperme, je jouis aussitôt. Nous avons fini par nous endormir, au matin il est reparti non sans me donner son numéro de téléphone pour nous revoir bientôt. Il dit que dans les campings il rencontre souvent des beaux garçons et il a des occasions de jouir avec eux, cette idée me fait encore bander ! Dans mon lit, le soir, je respire mes draps raidis par son sperme mêlé au mien et en pensant à ce bel Eric qu'un heureux hasard m'a fait rencontrer, je me branle fougueusement et en criant son nom, je jute encore et encore dans mes draps !